•  

    Partager via Gmail Yahoo!

    1 commentaire
  •  

     « Au plus fort de l’orage, il y a toujours un oiseau pour nous rassurer.

    C’est l’oiseau inconnu, il chante avant de s’envoler. »

    René Char

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  •  

     

     

    Le bonheur est dans le pré. Cours-y vite, cours-y vite.

    Le bonheur est dans le pré. Cours-y vite. Il va filer.

     

    Si tu veux le rattraper, cours-y vite, cours-y vite.

    Si tu veux le rattraper, cours-y vite. Il va filer.

     

    Dans l’ache et le serpolet, cours-y vite, cours-y vite,

    dans l’ache et le serpolet, cours-y vite. Il va filer.

     

    Sur les cornes du bélier, cours-y vite, cours-y vite,

    sur les cornes du bélier, cours-y vite. Il va filer.

     

    Sur le flot du sourcelet, cours-y vite, cours-y vite,

    sur le flot du sourcelet, cours-y vite. Il va filer.

     

    De pommier en cerisier, cours-y vite, cours-y vite,

    de pommier en cerisier, cours-y vite. Il va filer.

     

    Saute par-dessus la haie, cours-y vite, cours-y vite.

    Saute par-dessus la haie, cours-y vite ! Il a filé !


     Paul Fort


     

    Le bonheur


    Partager via Gmail Yahoo!

    2 commentaires
  • Et c'est le tuba!

    L'instrument de ma fille.

    Elle joue du tuba euphonium.

    Elle a commencé à l'âge de neuf ans.

    Bon, encore un pour la route!

    "Cuivre d'origine anglaise, dont la forme rappelle le saxhorn basse, doté de 3 ou 4 pistons. Il se différencie du saxhorn par sa perce plus grosse (diamètre de la branche d'embouchure) et sa sonorité plus douce et plus ronde. Se joue aussi bien en clé de sol (surtout pour permettre le cumul d'instrument avec la trompette) qu'en clé de fa (écriture standard).

    La tessiture de cet instrument est baryton et quelquefois, par nécessité, basse. Elle va normalement du do en dessous de la portée de clé de fa (do pédale) au 2e do au-dessus de la portée (contre-ut), mais peut être étendue du réflat pédale (presque une octave en dessous du do pédale) au contre-mi.

    L'euphonium est parfois confondu avec le baryton (une forme de saxhorn). Or ce dernier possède un son bien plus clair dû à une perce plus étroite. La tessiture de l'euphonium est plus large que celle du baryton, ce qui explique que les partitions pour baryton soient exclusivement écrites en clef de sol, et celle de l'euphonium alternativement en clef de sol et en clef de fa.

    Bien qu'il n'y ait que trois ou quatre pistons sur cet instrument, on peut jouer sur un peu plus de 4 octaves grâce aux harmoniques, comme sur tous les cuivres. On utilise aussi des combinaisons de doigtés pour produire des notes différentes."

     

    LES TUBAS:

    Il existe de nombreux modèles, dont parmi les plus gros, le sousaphone, est l'un des plus populaires. Il a été conçu à la demande de John Philip Sousa, célèbre compositeur de marches patriotiques américaines. Sa forme circulaire permet au tubiste de l'enfiler autour de soi pour jouer en marchant. Le sousaphone se distingue de l'hélicon, originaire d'Europe centrale. La forme de ce dernier est sensiblement différente, même si le musicien peut également passer son corps à travers pour le porter et jouer en se déplaçant.

    Contretuba et cornet
    • l'euphonium, tuba ténor le plus international, en siflat.
    • le tuba ténor en ut, à 6 pistons, dit « tuba français ».
    • les saxhorns.
    • le tuba en fa.
    • le tuba miflat, très répandu dans les pays anglo-saxons, notamment dans le contexte des brass bands.
    • le tuba contrebasse en ut (ou contretuba en ut).
    • le tuba contrebasse en siflat (ou contretuba en siflat), plus grave, principalement employé dans les orchestres d'harmonies, brass bands et batteries-fanfares.
    • le sousaphone très employé en musique de rue et dans les batteries-fanfares. Il dispose d'un très large pavillon frontal qui oriente le son vers l'avant. La dénomination « soubassophone » erronée, demeure cependant souvent usitée en France dans le milieu des fanfares.
    • l'hélicon, très répandu en Europe de l'est est toujours joué à la Fanfare de Cavalerie de la Garde Républicaine.

    source: Wikipedia

     

     et...le vol du bourdon

     

    et pour terminer, un quartet de tubas

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  •  

    Partager via Gmail Yahoo!

    3 commentaires
  •  


    "La victimisation est le sentiment excessif et exagéré d’être une victime.

    Ce passage de victime réelle à victime ressentie est très ténu,

    et réside dans la simple façon d’observer les faits.

    On est donc dans la subjectivité complète."

     

    Problématique

    A l’inverse, l’objectivité ou la tentative d’être objectif peut aboutir à une véritable injustice , car chacun voit midi de sa fenêtre et un observateur extérieur ne verra de toute façon qu’un aspect des choses. Cet objectivité est toutefois nécessaire, sans toutefois tomber dans le jugement , lequel ne ferait qu’accroître le sentiment d’injustice ou à l’inverse de victimisation.

    Conséquences

    Les conséquences de la victimisation peuvent être redoutables.

     

    • D’abord parce que la personne qui se pense victime peut s’enfermer dans un schéma psychologique permanent : elle a le « statut permanent » de victime. Cette façon noire de voir les choses peut altérer la vision de la vie au point d’aboutir à des conduites systématiques et répétitives de victime.
    • Ensuite parce que s’il y a victime, il y a « bourreau » ou « agresseur ». Or dans le cadre d’une victimisation excessive, se retrouve étiqueté bourreau quelqu’un qui n’en a ni les intentions ni la perversion.
    • Enfin parce que peut s’instaurer si chacun y trouve son compte, une relation sado-masochiste. Celle-ci peut s’exprimer au cours de pratique sexuelles (le sado-masochisme ), ou de façon plus banale par la formation d’un véritable « couple » bourreau-victime.

    Source ICI

    Partager via Gmail Yahoo!

    2 commentaires
  •  

    Trom...bone

     

     mais non! pas celui-là

    je veux parler de celui-ci:  

    Trom...bone

     

    Les origines lointaines du trombone se trouvent probablement dans le buccin, sorte de tuba joué par les romains, dont il existait une variante en forme de « S » rappelant celle du trombone actuel — le terme buccin fut d’ailleurs repris au XIXe siècle pour désigner un trombone d’orchestre militaire dont le pavillon représentait une tête de serpent.

    Gravure d’une sacqueboute

    C’est probablement au XIIIe siècle qu’on eut l’idée d’ajouter deux tubes coulissants l’un dans l’autre à une trompette basse : la coulisse était née. L'instrument ainsi créé s'appela la sacqueboute ("sacquer" signifiant tirer vers soi et "bouter" pousser vers le sens opposé). Il ne s'agissait pas d'un instrument radicalement différent du trombone, mais d'une version légèrement plus petite.

    Ce n’est qu’à partir du XVIIe siècle que le nom italien de trombone fut progressivement utilisé pour désigner l’instrument. L'origine du mot vient de tromba qui signifie trompette et de one, un suffixe qui signifie grand. Ainsi, au sens littéral, un trombone est une grande trompette.

    Pendant toute son histoire, le trombone, en raison de son principe simple, a subi peu de modifications, principalement de taille et de forme. Les plus remarquables sont l'apparition du trombone à piston au début du XIXe siècle dans lequel la coulisse est remplacée par les pistons mis au point en 1814 par Heinrich Stölzel, et celle du trombone complet par l’ajout du barillet breveté en 1839 par le facteur allemand Christian Friedrich Sattler.

     

    source: Wikipedia

     

    Phil Abraham au trombone

     

    et..

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • En voilà un drôle d'instrument ,

    et le musicien y va à coeur joie!

    Impressionnant, ce qu'il parvient à faire

    Le sousaphone, toujours de la famille des cuivres,

     

     

    Le soubassophone a été mis au point en 1893, par J. W. Pepper, un facteur d'instruments de Philadelphie. C'est ce facteur qui a imaginé son nom anglais « sousaphone » en hommage à son commanditaire, le grand chef de fanfare John Philip Sousa (1854-1932)1.

    Beatbox? Non! Sousaphone

     

    Le soubassophone est une évolution de l'hélicon (Autriche, 1845),

     

    Beatbox? Non! Sousaphone

    Beatbox? Non! Sousaphone

    lui-même cousin du cimbasso italien.

    Beatbox? Non! Sousaphone

    Il a ensuite été développé et produit à grande échelle par Conn (États-Unis) à partir de 1898.

    Le terme « soubassophone » est probablement une déformation de « sousaphone », auquel on a ajouté l'idée de sous-basse pour indiquer que l'instrument possède une tessiture grave (mais il est aussi possible que le terme français vienne directement de là). C'est le premier importateur (Beuscher) de sousaphones (venant des États-Unis pour être vendus en France) qui, semble-t-il, a donné le nom de "soubassophone".

    source: Wikipedia

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • ...il dort...

    c'est la feinte habituelle

    Bon, le cor fait aussi partie de la famille des cuivres.

    C'était l'instrument de mon plus jeune fils.

    Dommage qu'il ait arrêté.  Mais ce n'est pas grave, il a d'autres passions que la musique .


     

    Il a un son superbe, et inquiétant parfois, souvenez-vous des trois cors

    dans Pierre et le loup!


    Je n'ai pas trouvé un extrait pour écouter les 3 cors uniquement, mais ce n'est pas grave,

    vous retrouverez les instruments et les personnages principaux de Pierre et le loup,

    et...qui sait, vous aurez peut-être envie de retrouver la suite



    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Voici le bugle, ou flügelhorn,

    C'est un instrument de musique à vent de la famille des saxhorns, sous-famille des cuivres mise au point par Adolphe Sax.

    Il a aussi un son très doux.

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    1 commentaire