• ?

     

     

    INSTRUMENTS

    Je laisse

    Auteur : C. LEMESLE
    Compositeur : M. FUGAIN
    Editeur : SHOKAWAY/THOOBETT
    Producteur : SHOKAWAY MUSIC
    Année : 1998
    Album : De l'air

    D’abord, une pelle et une pioche
    Pour la terre à semer, j’laisse
    Encore une paire de galoches
    Pour avancer, je laisse
    Aussi mon couteau de poche
    Pour le pain à partager.
    Je laisse un mur et des briques
    Pour finir la maison, j’laisse
    Des rêves et des mots magiques
    Pour les maçons, je laisse
    Des notes et de la musique
    Pour qu’ils les mettent en chanson.
    Est-ce qu’on a vraiment tout fait
    quand on a fait de son mieux?


    Qu’est-ce qu’il restera de tout ça dans un siècle ou deux?
    J’ai pris du plaisir, essayé de construire un peu,
    J’ai défié le temps, l’espace et quelques dieux,
    Mais qu’est-ce que j’laisse
    A ceux qui naissent?

     
    ....

    Est-ce qu’on a donné un peu quand on a pas tout gardé?
    Est-ce que derrière le miroir on pourra s’regarder?
    J’ai poursuivi des combats qui restent à terminer,
    J’ai aimé des fous, des femmes et des idées,
    Mais qu’est-ce que j’laisse
    à ceux qui naissent?
    .....
    Je laisse un peu de papier,
    De l’encre pour écrire, j’laisse
    Des livres et la liberté
    De les relire, je laisse
    Quelques proverbes oubliés
    Qui pourront toujours servir.

    Partager via Gmail Yahoo!

    1 commentaire
  •  

     

    S'il vous plaît
    Soyez comme le duvet
    Soyez comme la plume d'oie
    Des oreillers d'autrefois
    J'aimerais
    Ne pas être portefaix
    S'il vous plaît, faites-vous légers
    Moi, je ne peux plus bouger

    Je vous ai portés vivants
    Je vous ai portés enfants
    Dieu ! Comme vous étiez lourds
    Pesant votre poids d'amour
    Je vous ai portés encore
    À l'heure de votre mort
    Je vous ai porté des fleurs
    Vous ai morcelé mon cœur
    Quand vous jouiez à la guerre
    Moi, je gardais la maison
    J'ai usé de mes prières
    Les barreaux de vos prisons
    Quand vous mourriez sous les bombes
    Je vous cherchais en hurlant
    Me voilà comme une tombe
    Et tout le malheur dedans

    Ce n'est que moi
    C'est elle ou moi
    Celle qui parle ou qui se tait
    Celle qui pleure ou qui est gaie
    C'est Jeanne d'Arc ou bien Margot
    Fille de vague ou de ruisseau
    Et c'est mon cœur
    Ou bien le leur
    Et c'est la sœur ou l'inconnue
    Celle qui n'est jamais venue
    Celle qui est venue trop tard
    Fille de rêve ou de hasard
    Et c'est ma mère
    Ou la vôtre
    Une sorcière
    Comme les autres

    .....



    J'étais celle qui attend
    Mais je peux marcher devant
    J'étais la bûche et le feu
    L'incendie aussi, je peux
    J'étais la déesse mère
    Mais je n'étais que poussière
    J'étais le sol sous vos pas
    Et je ne le savais pas
    Mais un jour la terre s'ouvre
    Et le volcan n'en peut plus
    Le sol se rompant découvre
    Des richesses inconnues
    La mer à son tour divague
    De violence inemployée
    Me voilà comme une vague
    Vous ne serez pas noyés

    Ce n'est que moi
    C'est elle ou moi
    Et c'est l'ancêtre ou c'est l'enfant
    Celle qui cède ou se défend
    C'est Gabrielle ou bien Éva
    Fille d'amour ou de combat
    Et c'est mon cœur
    Ou bien le leur
    Celle qui est dans son printemps
    Celle que personne n'attend
    Et c'est la moche ou c'est la belle
    Fille de brume ou de plein ciel
    Et c'est ma mère
    Ou la vôtre
    Une sorcière
    Comme les autres

    S'il vous plaît
    S'il vous plaît, faites-vous légers
    Moi, je ne peux plus bouger

    Anne Sylvestre

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    2 commentaires
  •  

     

    COMME UN SOLEIL
    paroles: Pierre Delanoë
    musique: Michel Fugain


    Comme un soleil, comme une éclaircie
    Comme une fleur que l'on cueille entre les orties
    Elle doit venir comme vient le beau temps
    Elle doit venir comme vient le printemps

    Demandez-moi tout ce que vous voulez
    Et sans regret je vous le donne
    Mais dites-moi où je la trouverai
    Celle qui comprendra, celle qui nous dira:
    «Où que tu ailles je vais avec toi,
    Quel que soit le chemin, je te suis pas à pas»
    Et s'il m'arrivait alors de tomber
    C'est elle qui me relèverait

    ….

     

    Fleurs

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  •  

     

     

    j'adore...

    les deux versions


     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  •  

    Encore une fois,

    ce sont mes enfants qui m'ont fait connaître

    ce groupe

    de musiciens engagés

    et qui osent dire tout haut

    ce que d'autres n'osent même pas dire tout bas...

     

    Paroles et musique : Cie Jolie môme

     

    Intro :
    Ca fait vingt ans qu'on nous explique
    La lutte de classe, c'est dépassé
    Qu'au nom d'la guerre économique
    Pauvres et riches doivent collaborer
    La droite, la gauche capitalistes
    Ont ouvert la voie aux fascistes

    Refrain
    Ne te trompe pas de colère
    Et méfie-toi des milliardaires
    Avec ou sans œil de verre
    Oui, méfie-toi des milliardaires

    Ta colère est légitime
    La gauche, la droite avaient promis
    Tu les as crus, ils t'ont trahi
    Maillon faible qu'on élimine
    Au bistrot, tu rêves de vengeance
    Tu bois contre l'indifférence

    Refrain

    Ta colère est légitime
    Quand tous les jours à la télé
    Les patrons se pavanent et friment
    Disant qu'il faut se résigner
    Car à la bourse c'est la crise
    Faut s'sacrifier pour l'entreprise

    Refrain

    Ta colère est légitime
    Quand même avec ses airs de fête
    La grève se transforme en défaite
    Et la précarité te guette
    Mais quand tu veux manifester
    Les flics protègent les beaux quartiers

    Refrain

    Ta colère est légitime
    Mais pense à ton copain Karim
    Avec qui tu te fends la gueule
    Celui dont tu dis que c'est l'seul
    Qu' avec lui ce n'est pas pareil
    Que ce mec là c'est une merveille !

    Refrain

    Ta colère est légitime
    La télé t'a terrorisé
    Dans ton esprit sont mélangés
    New York, Nanterre, La Palestine
    En confondant peur et courage
    Dans l'isoloir tu te soulages

    ...


     

     

    http://www.cie-joliemome.org/

     

     

    La Compagnie Jolie Môme

    est une formation musicale et théâtrale,

    fortement ancrée à gauche,

    née en 1983.

    La compagnie étant opposée

    au système de distribution commerciale,

    ses CD ne sont pas vendus dans le commerce,

    mais uniquement par vente directe,

    notamment lors des concerts.

    Jolie Môme présente quatre spectacles théâtraux

    source/suite :  WIKIPEDIA

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • C'est rigolo,
    à la recherche de cette chanson
    qui (pour moi) date
    du temps où je faisais
    du scoutisme
    je trouve cette chanson de hervé Villard....

     

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  •  

     

    Même si c'est difficile, et paraît parfois utopique,

    je reste persuadée qu'une des meilleures réponses

    à la méchanceté, à la haine.....

    c'est...l'indifférence

    (ne pas réagir ne signifie pas qu'on n'a pas vu ou entendu,

    ni qu'on accepte)

    et c'est l'amour

    non, non, non,

    moi je ne dis pas qu'il faut aimer ces personnes qui agissent mal


    je veux dire qu'il faut continuer

    soi-même à agir avec amour

    amour de soi-même

    amour de la vie

    amour de toute forme de vie

     

    les médias nous ont habitués à mettre l'accent

    sur ce qui ne va pas;

    nous montrent la violence, la haine

    et finiraient par nous faire croire

    que le monde est peuplé de personnes malhonnêtes

    méchantes

    haïssables


    oui, elles existent

    mais pas dans la proportion qu'on pourrait croire


    regardez autour de vous

    et comptez les personnes que vous connaissez

    et qui sont chouettes

    vous serez étonnés!


    allez,

    je vous offre cette merveilleuse chanson d'amour;

     

     

    Michel Fugain - Forteresse

      

        L'amour est une forteresse
    Dont les murs sont faits de promesses
    C'est là que dorment les amants
    Cachés de tout, cachés du temps

    Et quand leurs lèvres se rejoignent
    C'est tout l'univers qui s'éloigne
    Autour le silence est parfait
    Comme un instant d'éternité

    Tourne le... tourne le... tourne le temps
    Tout autour des amants...

    L'amour est une forteresse
    Dont les murs sont faits de tendresse
    Aussi fins qu'un papier de soie
    Mais qui ne se déchirent pas

    La peau et la peau qui se touchent
    Les mots qui naissent sur la bouche
    Disent tout bas comme un secret
    Qu'on peut tout prendre et tout donner

    Tourne le... tourne le... tourne le temps
    Tout autour des amants...

    L'amour est une forteresse
    Qu'il faut réinventer sans cesse
    Pour qui oublie de la rêver
    Elle disparaît à tout jamais

    Si devant vous des amants passent
    Quoi qu'ils se disent ou quoi qu'ils fassent
    Ne vous posez pas de question
    L'amour a toujours ses raisons

    Tourne le... tourne le... tourne le temps
    Tout autour des amants...

    Tourne le, tourne le, tourne le temps
    Tout autour des amants...

     
     
    http://www.paroles2chansons.com/blog-michel-fugain_forteresse.html

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    2 commentaires
  •  

    Sur le même 45t que "Johnny boy"

    dont je parle sur animusiques,

    elle faisait partie des chansons

    que je chantais avec..."les petites pestes "

     

     

     

     

     Les Petites Pestes

    Ça commence au jardin d'enfants
    Où d'innocentes benjamines
    Pour enquiquiner les copines
    Et se faire un brin chouchouter
    Offrent à la maîtresse des bouquets
    Des caramels ou des pralines
    On les retrouve à dix-huit ans
    Dans des bureaux impressionnants
    Où tout marche tambour battant
    On y reste obscur on végète
    Mais pour obtenir des galons
    Ces ineffables bergerettes
    Sont gentilles avec le patron

    ....


    Et les vieux qui nous aiment bien
    N'ont pas connu c'est évident
    Tous nos petits embêtements

     
    Ces accapareuses de tendresse
    Sans vergogne et sans gentillesse
    Ecrasent les faibles et les gênants
    Ça commence au jardin d'enfants
     ....

    Et les vieux qui nous aiment bien
    Ont reconnu fort tristement
    C'était pareil de notre temps
    C'était pareil de notre temps
     Les Petites Pestes, Marie-Josée Neuville


     

    MUSIQUE TRAD

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    1 commentaire
  •  

    "Comme un chant qui m'obsède,

    lancinant et obscène,

    tous les signaux d'alerte disent attention !

    ton âme me possède,

    mais en moi je réfrène mille pulsions secrètes,

    mille démons.
    Ta résistance m'attise,

    j'en brise le mécanisme et tu perds tout contrôle de la situation.



    Si tu fais tous tes choix,

    uniquement en fonction de tes peurs, jamais de tes envies,

    la morsure du souvenir,

    reviendra t'envahir et je deviendrai à mon tour ton obsession."

    Etienne Daho

    la suite ICI

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    1 commentaire
  • Enchanté petite fleur !
    Que tu as de la chance d'être née dans le bonheur, dans l'insouciance.
    Je t'aime, tes pétales en ballade ;
    Je t'aime, cuisinée en salade.

    Coucou petit oiseau, comme tu en as du bol.

    Tu es libre comme l'eau, quand tu prends ton envol.
    Je t'aime, tes ailes sont si douces ;
    Je t'aime, à la sauce aigre douce.

    Glouglou petit poisson, ho, dis-moi, quelle aubaine.

    Tu n'as jamais de leçons, ton école c'est la Seine !
    Je t'aime, tes nageoires glissantes ;
    Je t'aime, à la sauce piquante.

    Comment va monsieur le bœuf, que tu as de la veine.

    Quand tu ne fais pas la teuf, c'est que tu te promènes.
    Je t'aime, tes oreilles rigolotes ;
    Je t'aime, à la sauce échalote.

    Et croc, petite pomme, ho, quelle vie formidable.

    Pour finir tu es comme mon dessert sur la table.
    Je t'aime, en tarte ou en gâteau ;
    Je t'aime, cuisinée au sirop.

    Papa reste là

    Les Ogres de Barback


    Papa reste là, j'ai peur sans toi

    Dis-moi si tu vas raconter une histoire ou pas

    Je vais te raconter une histoire

    Aventure extraordinaire
    Mais elle s'écoute dans le noir
    Alors j'éteins la lumière

    Papa reste là, j'ai peur sans toi

    Dis-moi si tu vas raconter une histoire ou pas

    Je vais te raconter une histoire

    Celle que tu as aimée hier soir
    Je te raconterai la suite
    Et tu t'endormiras très vite

    Papa reste là, j'ai peur sans toi

    Dis-moi si tu vas raconter une histoire ou pas

    LES OGRES DE BARBACK - DINER NATUREL


    (LA PITTORESQUE HISTOIRE DE PITTOCHA)


    Partager via Gmail Yahoo!

    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique