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    On dit qu'avant d'entrer dans la mer,
    une rivière tremble de peur.
    Elle regarde en arrière le chemin
    qu'elle a parcouru, depuis les sommets,
    les montagnes, la longue route sinueuse
    qui traverse des forêts et des villages,
    et voit devant elle un océan si vaste
    qu’y pénétrer ne parait rien d'autre
    que devoir disparaître à jamais.
    Mais il n'y a pas d'autre moyen.
    La rivière ne peut pas revenir en arrière.
    Personne ne peut revenir en arrière.
    Revenir en arrière est impossible dans l'existence.
    La rivière a besoin de prendre le risque
    et d'entrer dans l'océan.
    Ce n'est qu'en entrant dans l'océan
    que la peur disparaîtra,
    parce que c'est alors seulement
    que la rivière saura qu'il ne s'agit pas
    de disparaître dans l'océan,
    mais de devenir océan.

    Khalil Gibran 

    La peur

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  • J'ai découvert ce texte ce matin, sur la page facebook suivante

    Recueil de textes

     
    À notre dernier souffle, tout ce qui aura compté, c'est l'amour que nous aurons donné et celui que nous aurons reçu. Peut-être même l'amour que nous n'aurons pas donné et celui que nous n'aurons pas reçu.
    Tout le reste ne comptera plus.
    Pourquoi sacrifions-nous autant d'énergie et de temps, chaque jour, sur des choses qui ne compteront plus à la fin ? Combien de nos heures sont consacrées à aimer chaque jour? Et si, aujourd'hui, nous mettions consciemment de l'amour dans chacun de nos petits gestes ?
    Soutenir, sourire, écouter, avoir de petites attentions, offrir son aide, tenir la main, accueillir le silence de l'autre. Comprendre plutôt que juger, accepter plutôt que se fâcher, ouvrir son cœur plutôt que de le fermer, choisir la voie de l'amour plutôt que le modèle habituel.
    Mettre de l'amour dans nos messages, au téléphone, dans nos paroles, dans le ton de notre voix et dans notre regard.
    S'accepter soi-même avec amour plutôt que de se taper dessus.
    Aimer sans compter, puisqu'au final, aimer c'est tout ce qui compte.

     

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    « Si je n’avais pas créé mon propre monde, je serais probablement morte dans celui des autres. » 

     

    Anaïs Nin (écrivaine franco-cubaine 1903-0977)

     

     

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  • C'est l'image et l'article paru sur

    le site Education joyeuse

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    "C'est à l'artiste de proclamer sa foi dans le Oui éternel, de dire:

    "Je crois en un idéal qui plane sur toute la terre,

    qui la pénètre toute entière...

    en un idéal de Paradis qui n'est pas le produit de l'imagination,

    mais l'ultime réalité où toutes choses résident et se meuvent.

    Je crois que cette vision du paradis s'aperçoit dans la lumière du soleil,

    dans la verdure de la terre,

    dans la beauté de la figure humaine,

    dans l'illumination de la vie humaine,

    et même dans des objets en apparence insignifiants et sans attraits.

    Partout sur cette terre, l'esprit du Paradis veille et fait entendre sa voix.

    Il atteint notre oreille intérieure sans que nous le sachions,

    il donne le ton à notre harpe de vie,

    dont la musique envoie notre aspiration au-delà du fini,

    non seulement en prières et en espérances,

    mais en temples qui sont des flammes de pierre,

    en peintures qui sont des rêves immortalisés,

    en danse qui est méditation extatique au centre immobile du mouvement."

    (Extrait de "Le sens de l'art" )

    source

     

    Je crois !

     

     

     

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    O Grand Esprit dont j’entends la voix dans le vent
    Et dont le souffle donne la vie au monde
    Ecoute-moi
    Puissent mes pas me porter dans la beauté
    Puissent mes yeux toujours voir
    Le coucher du soleil rouge et pourpre
    Puissent mes mains respecter les choses que tu as créées
    Et mes oreilles être attentives à ta voix
    Que je puisse apprendre les leçons que tu as cachées
    Dans chaque feuille et chaque pierre
    Je cherche la force
    Pas pour être plus grand que mon frère
    Mais pour combattre mon pire ennemi
    Moi-même
    Pour que je puisse toujours venir vers toi
    Les mains propres et le regard franc
    Pour qu’au crépuscule de la vie
    Comme le soleil qui se couche
    Je puisse venir vers toi
    Sans honte

     http://www.del-gado.com/

    PRIERE INDIENNE

     

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  • mais un rêve n'est qu'un rêve

    il ne sert à rien tant qu'on ne mette pas tout en oeuvre

    pour qu'il se réalise

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