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    Ô mon Dieu, comme c'est dur d'avoir tort...
    Et de l'accepter bonnement, sans se chercher d'excuses.
    Sans chercher à fuir ce fardeau de l'acte posé.
    Sans chercher à le faire porter par deux ou trois autres.
    Ou par la Société, le Hasard, ou la malchance.
    Sans chercher dix raisons valables, dix explications filandreuses pour prouver aux autres - et surtout, pour se prouver à soi-même - que ce sont les choses qui ont tort, et que le monde est mal fait.

    Qu'il est dur d'accepter d'avoir tort...
    Sans rager parce que je m'enferre dans ma plaidoirie pour moi-même, avec des arguments qui ne tiennent pas debout.
    Sans vouloir à tout prix être infaillible, impeccable, et quoi encore ?

    Paul Gères, Prières pour les jours intenables, Ed. de l'Atelier

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    Méfiez-vous des gens

    dont on dit

    qu'ils ont le coeur sur la main.

    Comme ce n'est pas sa place,  

    demandez-vous

    ce qu'ils peuvent bien avoir

    à la place du coeur.


    Pierre-Jean Vaillard


     

     

     


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    Face à l'indifférence, au manque de respect et au cynisme,

    nous possédons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit :

    notre coeur.
    La gentillesse n'est pas un renoncement,

    une démission ou une soumission,

    c'est un choix traduit par des petits gestes

    qui rendent la vie plus agréable.


    La gentillesse est une intelligence et elle est contagieuse.

    Agissons ensemble chaque jour pour un monde plus humain.


    POUR

    En finir avec le chacun pour soi
    Refuser le cynisme ambiant
    Déjouer l'agressivité quotidienne
    Dire non à l'indifférence
    Choisir d'être plus attentif aux autres
    Mettre de l'harmonie dans mes relations
    Etre altruiste et bienveillant

    JE CHOISIS DE CONSTRUIRE CHAQUE JOUR,
    AVEC DES MILLIERS D'AUTRES,
    UN MONDE PLUS HUMAIN

    Psychologies,

    http://journee-de-la-gentillesse.psychologies.com/manifeste

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    Mon Seigneur……


    Aide-moi à dire la vérité devant les forts

    et à ne pas dire de mensonges pour gagner l’applaudissement des faibles


    Si tu me donnes fortune, ne me retire pas la raison.


    Si tu me donnes un succès, ne me retire pas l’humilité.


    Si tu me donnes une humilité, ne me retire pas la dignité.


    Aide-moi toujours à voir le revers de la médaille,

    ne me laisse pas inculper les autres de trahison

    pour ne pas penser comme moi.


    Apprends-moi à aimer les gens comme moi même.


    Ne me laisse pas tomber dans l’orgueil si je triomphe,

    ni dans le désespoir si j’échoue.


    Rappelle-moi plutôt que l’échec est l’expérience qui précède au triomphe.


    Apprends-moi que pardonner est un signe de grandeur et que la vengeance est un signe de bassesse.


    Si tu me retire le succès, laisse-moi des forces pour apprendre l’échec.


    Si j‘ai offensé des gens, donne-moi la valeur pour m´excuser

    et si les gens m’offensent, donne-moi la valeur pour pardonner.


    Seigneur … si je t’oublie ne m´oublie jamais!

    Mahatma Gandhi

    Je ne sais pas s'il s'agit vraiment d'une prière de Gandhi

    et de qui est la traduction

    j'aime bien certaines de ses idées

    et de toute façon,

    elle fait réfléchir


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    Es-tu triste ?

    Cherche autour de toi un service à rendre,

    une peine à consoler...

    Jacques Coeur


     

     

     

    quand ça va mal...

    ça pourrait être pire!

     


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    Il vaut mieux

    mettre son coeur dans la prière

    sans trouver de paroles

    que trouver des mots

    sans y mettre son coeur.


    Gandhi

     

    Ma préférence à moi

     

    "Ce doux a possédé la terre.

    Dans un monde voué au crime.

    Il aura régné par la douceur.

    Quelle merveille !...

    Cet unique feu qui vient de s'éteindre,

    dans quel endroit du monde va-t-il se rallumer ?

    Sur quelle colline ?..."


    (François Mauriac)

     

     

     

     


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    Certains êtres balancent entre le besoin de servir

    et le besoin de persécuter.

    Il leur faut haïr comme il leur faut aimer.

    Ce sont des coeurs à deux compartiments,

    des coeurs doubles.

    Henri Duvernois


     


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  •  

     

    C'était un homme droit et sincère qui cherchait le chemin du bonheur, qui cherchait le chemin de la vérité. Il alla un jour trouver un vénérable maître soufi dont on lui avait asuré qu'il pourrait les lui indiquer. Celui-ci l'accueillit aimablement devant sa tente et, après lui avoir servi le thé à la menthe, lui révéla l'itinéraire tant attendu : « C'est loin d'ici, certes, mais tu ne peux te tromper : au coeur du village que je t'ai décrit, tu trouveras trois échoppes. Là te sera révélé le secret du bonheur et de la vérité. »

    La route fut longue. Le chercheur d'absolu passa maints cols et rivières. Jusqu'à ce qu'il arrive en vue du village dont son coeur lui dit très fort : « C'est là le lieu ! Oui, c'est là ! » Hélas ! Dans chacune des trois boutiques il ne trouva comme marchandises que rouleaux de fils de fer dans l'une, morceaux de bois dans l'autre et pièces éparses de métal dans le troisième. Las et découragé, il sortit du village pour trouver quelque repos dans une clairière voisine.

    La nuit venait de tomber. La lune remplissait la clairière d'une douce lumière. Lorsque tout à coup se fit entendre une mélodie sublime. De quel instrument provenait-elle donc ? Il se dressa tout net et avança en direction du musicien. Lorsque, stupéfaction, il découvrit que l'instrument céleste était une cithare faite de morceaux de bois, des pièces de métal et des fils d'acier qu'il venait de voir en vente dans les trois échoppes du village.

    A cet instant, il connut l'éveil. Et il comprit que le bonheur est fait de la synthèse de tout ce qui nous est déjà donné, mais que notre tâche d'hommes intérieurs est d'assembler tous ces éléments dans l'harmonie.

    Conte soufi




    mon premier instrument de musique a été une cithare

    un luthier l'avait conçue pour moi

    je l'ai reçue à Noël

    j'avais huit ans je crois

    elle est toujours là, je ne l'ai jamais perdue....

    ma cithare

     

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  • Je croise , ce soir, une de mes voisines qui rentrait de sa promenade avec son chien.

    Petite discussion autour des animaux, de notre attachement envers eux et de leur fidélité.

    Voilà qui m'inspire pour un post...sur le chien et la fidélité.

     

     

    "Le chien est le symbole de la fidélité,

    mais nous le tenons en laisse."

    L. Sövény




    "La fidélité conjugale,

    une terrible démangeaison avec défense de se gratter."

     

    Aurélien Scholl

     

    Chien et fidélité


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    J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables,
    j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables
    et d'oublier des personnes inoubliables.
    J'ai agi par impulsion,
    j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables,
    mais j'ai déçu des gens aussi.
    J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger.
    J'ai ri quand il ne fallait pas.
    Je me suis fait des amis éternels.
    J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé.
    J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer.
    J'ai crié et sauté de tant de joies,
    j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles,
    mais je me suis brisé le coeur, tant de fois !
    J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos.
    J'ai téléphoné juste pour entendre une voix,
    je suis déjà tombé amoureux d'un sourire.
    J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie
    et j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial
    (que j'ai fini par perdre)...
    Mais j'ai survécu ! Et je vis encore !

    Et la vie, je ne m'en passe pas...


    Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer. Vis !!!

    Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion,

    perdre avec classe et vaincre en osant,

    parce que le monde appartient à celui qui ose et que

    LA VIE C'EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante !

    Charlie Chaplin

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