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Le bonheur n'est pas dans la recherche de la perfection, mais dans la tolérance de l'imperfection.
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Chantez ! La nuit sera brève.
Jean RICHEPIN
Il était une fois un vieil homme tout noir;
Il avait un manteau fait de rêve,
Un chapeau fait de brume du soir.
Chantez ! La nuit sera brève.
Chantez ! la nuit sera douce.
Le vieil homme tout noir en silence est venu;
On eût dit qu'il marchait sur la mousse
A pas lents et furtifs et pied nu.
Chantez ! La nuit sera douce.
Chantez ! la nuit sera belle.
Le vieil homme sourit à l'enfant qui s'endort;
Vient fermer sa paupière rebelle,
Sable fin du sommeil, sable d'or !
Chantez ! la nuit sera belle.
Chantez ! la nuit sera brève.
Le vieil homme tout noir en silence a passé,
Et voilà sur les ailes du rêve
Que l'enfant dans l'azur est bercé !
Chantez ! la nuit sera brève.
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http://www.psychomedia.qc.ca/fibromyalgie/2014-06-21/symptomes-cognitifs#.VAi2l_WkDkI.facebook
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le fibromyalgique se plaint de nombreux symptômes ayant pour caractéristique :
- d’être variables en nombre et en intensité selon le moment de la journée.Cela se traduit par des journées où le sujet ne se plaint de rien, puis par des journées où le sujet peut ressentir de 1 à 20 symptômes. Celui qui ressent cette variation permanente ne comprend pas ce qui lui arrive et le pire serait que l’entourage le prenne pour un simulateur.
LES 100 SYMPTÔMES DE LA FIBROMYALGIE
(Extrait du livre «Prisonniers de la Fibromyalgie, l’espoir retrouvé» du Dr André Mergui)
Cette liste permet au fibromyalgique de se reconnaître ou de se remémorer les symptômes
successifs dont il a souffert.• Acouphènes
sifflements ou bourdonnements d’oreilles: ce sont des bruits ininterrompus qui résonnent
dans la tête. Ils proviennent de spasmes des muscles tenseurs du tympan et répondent aux
critères suivants définis par le docteur Vernon de Portland: sensation d’oreille bouchée, présence de
deux ou plusieurs sons, modification de l’acouphène lors de la mastication. L’acouphène est très invalidant parce que ce bruit incessant et obsédant qui résonne dans la tête finit par donner la sensation de devenir «fou». Les patients décrivent aussi des impressions de tintements, de démangeaisons occasionnelles et de diminution de l’acuité auditive.
• Allergie
hypersensibilité aux allergènes de toutes sortes (médicaments, aliments, pollution), le fibromyalgique
est irritable de tout. Cet état peut lui congestionner le nez, et lui donner aussi des démangeaisons
et des brûlures aux yeux qui larmoient souvent. - se référer à «distorsion des sensations».
• Amygdalite et laryngite sont fréquentes, puisque la perte de l’axe diminue la bonne ventilation de
cette zone et en favorise l’inflammation.
• Anxiété
se référer à: «dépression»• Apnée du sommeil
• Articulation temporo-mandibulaire
articulation silencieuse et indolore parfois, ou au contraire, bruyante à l’ouverture ou à la fermeture de la bouche, provoquant un claquement ou un ressaut, donnant même, certaines fois, l’impression de se déboîter. Elle peut crépiter, se sub-luxer, se déboîter.• Asthénie et fatigue chronique
• Audition
perte dans les basses fréquences ou diminution de l’acuité auditive se retrouvent souvent
chez les fibromyalgiques.
• Baisse des performances physiques
impression d’avoir vieilli, impossibilité «d’abattre tout le travail qu’on faisait», sensation d’être surmené, d‘être au maximum de ses possibilités.
• Baisse des performances intellectuelles
impression d’avoir perdu sa vivacité d’esprit.
• Baisse des performances sexuelles
surtout de la libido
• Biopsie
la fibromyalgie ne se découvre pas aux examens tissulaires microscopiques habituels.• Bouche
elle est souvent sèche comme dans le syndrome de Gougerot Sjögren. Il est difficile de l’ouvrir
en grand selon un même axe. La déviation à l’ouverture ou à la fermeture est fréquente.
• Bouffées de chaleur.• Bourdonnement d’oreille
se référer à: «acouphènes».• Brouillard
c’est ainsi que les patients parlent du ressenti qu’ils ont de l’entourage, une impression
de vivre dans le coton que les Américains désignent par «fibrofog».
- se référer à: «idéalisation- état confusionnel».• Bruxisme
dents qui grincent de jour comme de nuit; les mâchoires sont toujours serrées sans
connaître le moindre repos, elles sont en état de spasme.• Canal carpien
la fibromyalgie peut provoquer des signes qui s’apparentent au syndrome du canal
carpien.• Circulation sanguine
elle semble perturbée et des troubles de la coloration cutanée peuvent être
observés sur les lobes de l’oreille, sur les mains ou sur les chevilles. Les patients décrivent une sensibilité exagérée au froid.• Collets dentaires
nombre de patients souffrent de sensibilité de leur collet, zone qui unit la dent à
la gencive.• Colon irritable
colites et alternance de diarrhée et de constipation. Le fibromyalgique se plaint d’avoir
les intestins fragiles, de tolérer de moins en moins d’aliments.Il lui semble que la digestion «ne se
fait pas, que tout lui reste sur l’estomac».• Concentration
les troubles de la concentration font oublier au fibromyalgique l’endroit où il a garé sa voiture.
• Conduit auditif
il donne l’impression d’être bouché, il démange et fabrique en excès du cérumen.
- se référer à: «acouphènes».
• Coussin sous la tête
il est indispensable au fibromyalgique dans tous ses déplacements. Son gros oreiller lui permet de se mettre au lit tout en conservant l’attitude courbée qu’impose la vrille du corps. Cette difficulté à allonger la tête sur le fauteuil du dentiste, se complique d’une exacerbation du réflexe nauséeux, puisque le carrefour pharyngien n’est plus dans son axe.
• Crampes musculaires unilatérales nocturnes
déclenchées par la chaleur ou le simple effleurement du drap.
• Démangeaisons et grattage incontrôlable de la peau
au niveau des mollets ou des avant-bras.
• Dent
lorsqu’une dent est en souffrance par dysfonction, elle reste muette, asymptomatique et ne
s’exprime qu’à distance, là où on ne l’aurait jamais soupçonnée d’agir. Lorsqu’une dent est en
mauvaise occlusion avec son antagoniste, elle manifeste à grand bruit sa souffrance sur le reste du
corps, mais rarement sur le maxillaire.
• Déviation de la mâchoire à l’ouverture ou à la fermeture.
- se référer à: «articulation temporo-mandibulaire».
• Dépression associée à un état anxieux permanent
parfois à une perte d’appétit, à des crises de panique ou à des crises de larmes.
• Doigts rouges ou blancs et glacés
se référer à: «extrémités».
• Difficultés pour ouvrir la mâchoire ou pour la fermer
- se référer à: «articulation temporo-mandibulaire».
• Difficultés pour monter ou descendre un escalier.
• Difficultés pour lever ou baisser les bras.
• Difficultés pour avaler
fausses routes unilatérales, se reprendre à deux reprises pour faire passer l’aliment
dans l’oesophage, dysphagie.
• Difficultés pour parler
extinction de voix ou déplacement brutal de la voix chantée, dysphonie.
• Difficultés pour s’exprimer ou pour communiquer
se référer à: «brouillard».
• Distorsion des sensations
le baiser, l’effleurement cutané peuvent être douloureux pour le fibromyalgique.
- se référer à: «allergie- hypersensibilité».
• Douleurs à la tête
qui prennent la forme de migraine, de douleur vasculaire, de «tension» sur le crâne
unilatérale, de douleur d’une tempe ou de douleur derrière les yeux, au fond de l’orbite.
• Douleurs spontanées diffuses et lancinantes
concernant les muscles, les tendons, les ligaments et la peau. Elles sont tout à la fois une sensation de brûlure, de tiraillement, de picotement. Elles changent d’endroit, d’intensité et de caractère au gré du temps, de l’humidité, du stress, de l’activité physique ou de l’air ambiant. Aucune partie du corps n’est épargnée, de la main à l’épaule, du pied à la hanche, du bas du dos au sommet du crâne, tibia, talon.
• Douleurs faciales
ces douleurs unilatérales se situent sur la projection cutanée de la canine supérieure ou de la dent de six ans. Elles irradient souvent l’orbite.
• Douleur à la pression de l’articulation temporo-mandibulaire
mais seulement unilatérale. - se référer à: «articulation temporo-mandibulaire».
• Douleur à la mastication
se référer à: «articulation temporo-mandibulaire».
• Douleurs musculaires unilatérales à la pression
le Collège Américain de Rhumatologie (ACR) a décrit
les neufs points bilatéraux douloureux suivants en 1990. Lorsque onze de ces dix-huit points sont
douloureux à la pression, le sujet a selon l’ACR 88% de chances d’être fibromyalgique:
- point sous occipital, à l’insertion du muscle au niveau de l’émergence du nerf d’Arnold
- point cervical au niveau C5- C7
- point au milieu du bord supérieur du trapèze
- point épicondylien situé à deux centimètres de l’insertion osseuse sur l’avant bras
- point entre l’omoplate et la colonne
- point grand trochanter
- point intercostal antérieur situé à deux centimètres du sternum
- point fessier
- point genou interne situé au-dessus du genou au niveau de la patte d’oie
• Douleurs des règles
exacerbation de celles-ci.
• Douleur thoracique unilatérale
perceptible entre deux côtes à 4 cm du bord sternal ou à l’arrière à 5 cm des apophyses épineuses. Cette douleur se rencontre le plus souvent à gauche sur la cinquième côte et elle empêche le sujet de remplir ses poumons comme il le voudrait. Cette douleur par son siège intercostal peut faire penser à une douleur précordiale.
• Dysphagie
difficultés à avaler, fausses routes peuvent arriver parfois dans le cadre d’une fibromyalgie.
• Dyspareunie
douleur pendant les rapports, douleurs vulvaires.
• Endométriose.
• Engourdissement des membres et sensation de fourmis.
• Extrémités blanches et froides en hiver
les doigts ne peuvent pas supporter le froid et la main reste froide en hiver comme dans la maladie de Raynaud. - se référer à: «gonflement».
• Etat confusionnel
au cours d’une conversation, les mots justes ne viennent pas, la mémoire défaille
sans raison et il est difficile de suivre une conversation ou un exposé, reconnaître des endroits familiers. - se référer à: «brouillard».
• Examens sanguins
la fibromyalgie ne se découvre pas aux examens sanguins habituels.
• Examens sanguins particuliers
Jon Russell M. D. de l’Université du Texas A Health science center à
San Antonio estime que la substance P. se retrouve en quantité importante dans le cerveau des fibromyalgiques, alors que le taux de sérotonine serait inférieur à la normale. La dopamine, la noradrénaline, l’histamine, le GABA, le calcitonin-gene-related peptide et tous les neuromédiateurs seraient perturbés. Tout l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien serait perturbé, ainsi que le système
nerveux végétatif.
• Fatigue
elle épuise et met dans l’incapacité d’effectuer les activités qu’on avait coutume de pratiquer.
Elle vous envoie directement au lit.
• Fer
se référer à: «peau».
• Fertilité masculine
les troubles hormonaux de l’axe hypophyse-gonade diminuerait la fertilité.
• Force
perte au niveau des mains avec prédominance unilatérale sur le 4e et le 5e doigt.
• Frissons.
• Genoux qui se dérobent.
• Gonflement unilatéral des extrémités
des doigts ou du pied jusqu’au genou: la bague ne peut plus sortir du doigt ou la jambe devient subitement plus grosse que l’autre. Ce gonflement ne concerne pas les articulations, ce qui permet de le différencier d’affections inflammatoires articulaires. - se référer à: «extrémités».
• Gorge:
elle racle, donnant l’impression d’avoir en permanence des glaires dans l’arrière gorge.
• Hypersensibilité
aux odeurs, à la lumière, au bruit, à la moindre ambiance sonore, au chaud, au froid,
à la cigarette, il s’agit d’une irritabilité de tout. - se référer à: «distorsion des sensations - hypersensibilité».
• Hypersensibilité aux allergènes de toutes sortes
(médicaments, aliments ou additifs alimentaires, pollution). Les réactions sont semblables à celles de l’allergie vraie, mais s’en distinguent par leur capacité à disparaître sans désensibilisation, juste après traitement d’ostéopathie dentaire.
• Humeur changeante
dépendant du taux d’endorphines circulant. Ces variations thymiques ne permettent pas au fibromyalgique d’être pris au sérieux ou comme un vrai malade.
• Les idées suicidaires
sont fréquentes, mais heureusement, le passage à l’acte est plus rare. - se référer à: «dépression».
• Idéation
les patients décrivent des troubles de l’idéation, l’impression d’être ailleurs, «de marcher à
côté de leurs baskets» et d’avoir de plus en plus de difficultés pour rester performants dans le travail.
- se référer à: «brouillard - état confusionnel».
• Impatience
c’est le syndrome des jambes sans repos, un besoin incontrôlable de bouger et de soulever ses jambes, debout, assis ou au lit. Ces mouvements quasi involontaires peuvent réveiller le sujet ou le conjoint.
• Inadaptation à l’effort.
• Irritabilité
pour des peccadilles, la saute d’humeur est fréquente chez le fibromyalgique. - se référer à: «humeur».
• Libido
perte de la sensualité du désir.
• Maladresse
le fibromyalgique laisse souvent involontairement des objets s’échapper de ses mains. De même, il se heurte, se cogne, trébuche ou se blesse sans raison apparente.
• Marche
sensation d’être attiré sur le côté en marchant, comme si on poussait celui à côté de qui on
marche.
• Mastication difficile
difficultés pour mordre une pomme. Ils décrivent une impression de mâchoire folle qui ne sait jamais comment se fermer, qui se décroche, qui semble être décalée, sans repères. Mâcher devient pénible.
• Mémoire à court terme perturbée:
«à quelle place ai-je garé ma voiture?» par exemple.
• Mouvements incontrôlés des membres
pendant la nuit: le plus souvent unilatéral, syndrome de la jambe sans repos.
• Muqueuses: sécheresse de la bouche et des yeux semblable à la maladie de Gougerot-Sjögren.
• Myalgies.
• Myoclonies nocturnes
la nuit des spasmes incontrôlés agitent les bras et les jambes.
• Occlusion dentaire
95% des patients se plaignent de ne pas pouvoir fermer correctement la bouche, comme si un obstacle s’interposait entre leurs dents pour en empêcher un parfait engrènement.
• Palpitations cardiaques, malaises.• Panique
crises de panique nocturnes avec souffle coupé et impression de mourir.
• Paresthésie ou troubles de la sensibilité des mains
avec prédominance unilatérale sur le 4e et le 5e doigt. Les patients décrivent une sensation de fourmis qui rampent sur la peau, de brûlure, d’engourdissement ou de picotements qui peut irradier jusqu’à l’épaule. Le pied est moins souvent concerné par ces paresthésies.
• Peau sèche, écailleuse, râpeuse
dans laquelle il est difficile d’enfoncer une aiguille. Les patients atteints par crises du besoin impérieux de se gratter jusqu’au saignement tant les démangeaisons qu’ils ressentent sont fortes. Des troubles de la coloration cutanée peuvent être observés donnant à la peau un aspect marbré. Un déficit en fer a été aussi évoqué chez le fibromyalgique en raison d’une atteinte globale des phanères: cheveux cassants, ongles striés, muqueuse buccale sèche et atrophiée, fissures au coin des lèvres.
• Pied
lorsque le corps est vrillé et qu’il n’est plus dans son axe, le pied ne peut plus prendre un appui
uniforme sur le sol. Les appuis sont transférés le plus souvent vers l’avant-pied, de telle sorte que la
station debout ou la marche, blessent le pied et y produisent toutes sortes de blessures: cors, durillons
ou ampoules. A un stade plus avancé, le sujet aura l’impression que son pied change de forme au
point que le port des chaussures devient difficile. Les sujets les plus observateurs décrivent une
impression de rotation des orteils sur leur axe ainsi qu’une perte de parallélisme des deux pieds. Associées à des douleurs de la plante, ces blessures finissent par faire renoncer à l’envie de marcher.
• Photophobie
avec une impossibilité de supporter la forte lumière du jour ou les scintillements de la lumière artificielle. - se référer à: «hypersensibilité».
• Radio
la fibromyalgie ne se dépiste pas sur les radios, les scanners ou sur la résonance magnétique
nucléaire.
• Raideur
le malade a l’impression d’être enfermé dans un corset de plâtre qui entrave ses mouvements
soit au lever du lit, soit après avoir gardé longtemps (trente minutes suffisent) la même position,
debout, assis ou dans le lit. Conduire une heure déclenche cette raideur qui a pour particularité
de s’accentuer aux changements de température ou selon l’humidité ambiante.
• Règles
parfois douloureuses, surtout lors de périodes de crise donnant l’impression de ne pas pouvoir
éliminer ce qui doit l’être.
• Seins
maladies fibro kystiques.
• Selles mal moulées alternant entre diarrhée et constipation.
se référer à: «colon».
• Sinus
douleurs des sinus, ressemblant à des sinusites sans signes radiologiques.
• Sommeil
le sujet dort moins en quantité sans trouver de «sommeil réparateur». C’est la quatrième
phase du sommeil dite phase delta qui ne joue plus son rôle réparateur, déréglant l’hormone de croissance et son pouvoir de réparation tissulaire et entravant la recharge de tout le système immunitaire.
En pratique, le fibromyalgique aura des phases d’hypersomnie qui pourront succéder à des
phases d’insomnie. Il se réveille souvent dans la nuit sans pouvoir se rendormir, et au matin, il est
aussi fatigué que quelqu’un qui n’a pas dormi. Parfois il est réveillé par des crises de terreur nocturne
avec sensation de ne plus pouvoir respirer. Moldofsky H. a pu démontrer que les fibromyalgiques
souffraient d’un trouble du sommeil profond à ondes lentes.
• Spasmes musculaires
concernant tous les muscles rouges.
• Sueurs abondantes.
• Thermique
troubles, sensation d’avoir trop chaud en été, trop froid en hiver et surtout d’avoir les
mains froides ou les pieds froids, comme Raynaud l’a décrit dans son syndrome. Les mains peuvent
paraître blanches, exsangues, et non vascularisées.
• Thermographie
la fibromyalgie peut se révéler à la thermographie. - se référer à: «extrémités».
• Thyroïde
le plus souvent hypothyroïdie instable, difficile à équilibrer.
• Troubles digestifs
douleurs, ballonnements, alternance de diarrhée et constipation. Les malades se
plaignent tour à tour de brûlures d’estomac, de gaz, d’état nauséeux. - se référer à: «colon».
• Troubles de l’humeur
la douleur de leur corps tordu sur son axe, les épuise, les rend fous, leur «met
les nerfs à fleur de peau». Elle consume leur vitalité, les épuise petit à petit et finit par venir à bout
de leur force et de leur volonté. Ils ont parfois du mal à garder le contrôle de leurs réactions, puis
regrettent de manquer de sérénité pendant l’action. Ils peuvent être victimes de crises de panique
ou de crises de larmes.
• Urines
besoin impérieux et fréquent sans infection, c’est le syndrome de la vessie irritable. Des fuites
urinaires au moindre effort (marcher, monter l’escalier, courir) sont fréquentes chez la femme. Ceci
se complique souvent de cystites récidivantes.
• Vertiges
le sujet décrit une impression de perte de contact avec le sol, de ne plus sentir son pas au
sol. - se référer à: «marche».
• Vision
elle est double ou douloureuse unilatéralement dans le cadran supérieur (à 11h ou à 13h). Les
patients décrivent des «mouches volantes» ou des fausses images qui se déplacent devant les yeux.
Selon leur fréquence ces impressions peuvent considérablement gêner la conduite automobile.
• Vulve
lors des crises, les femmes décrivent des douleurs à type de brûlure ou tiraillement qui peuvent
faire penser à un herpès.
• Yeux
ils sont souvent secs comme dans le syndrome de Gougerot Sjögren. Ils brûlent et démangent
comme si un grain de sable ne voulait pas quitter la conjonctive. La vision peut être brouillée parfois,
les globes oculaires peuvent rougir et s’injecter après une période de lecture. Une des deux paupières
peut battre sous l’influence de spasmes incontrôlables. D’autres fois, il devient pénible de supporter
la lumière.
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