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Vie!
Le vélo était couché et la roue tournait encore…
L’enfant s’était relevé et le regardait, le regard vide.
L’adulte encore hébété semblait descendu de Mars.
Il restait là, figé, glacé…
Une petit souris sortit d’un trou perdu dans le mur tout proche
et s’agrippa à la roue folle.
Alors, d’un coup,
l’adulte et l’enfant s’envolèrent dans un grand éclat de rire et ,
en s’embrassant,
plongèrent dans la vie.
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Commentaires
Après une grosse peur on est tétanisé, puis on découvre le comique de la situation et le rire bien vite chasse la peur
amicalement
Claude
1soso58Lundi 19 Mars 2012 à 14:29Bonjour mon amie Macédoine,bonne journée de lundi
belle semaine.....Joli ptit texte sympa.....gros bisous
Sonia
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Ca secoue!
Il faut parfoi une belle peur pour profiter intansément de la vie!
Ton texte remet gentiment les pendules à l'heure.
Bonne journée.
Isabelle.