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    Les vrais amis : Bien s'entourer pour vivre heureux

    Savoir bien s'entourer est l'une des clés du bonheur. Mais comment reconnaître ses vrais amis ? Si l'amitié est le plus souvent une formidable aventure, source d'énergie et de bien-être, il arrive aussi qu'elle tourne mal : nos amis nous déçoivent, nous abandonnent, nous trahissent - nous nous étions trompés sur leur compte.

    Qu'est ce donc qu'un ami ? En existe-t-il de plusieurs sortes ? Comment détecter les faux amis avant qu'ils ne vous blessent ? L'amitié au travail a-t-elle un sens. Faut-il revoir ses anciens amis ? L'amitié et le couple font-ils bon ménage ? Quand et comment mettre fin sans dégâts à une amitié mal engagée ? Et surtout, comment sauver une relation amicale qui mérite de l'être.

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    C'est toi ma p'tit' folie
    Toi ma p'tit' folie
    Mon p'tit grain de fantaisie...
    Toi qui boul'verses
    Toi qui renverses
    Tout ce qui était ma vie. 

    ....

    Line Renaud

     

    La Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle.

    Tous les invités y allèrent. Après le café la Folie proposa : On joue à cache-cache ? Cache-cache ? C'est quoi, ça ? - demanda la Curiosité. Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez. Quand j'ai fini de compter je cherche, et le premier que je trouve sera le prochain à compter.
    Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse.
    1, 2, 3,... - la Folie commença à compter.

    L'Empressement se cacha le premier, n'importe où.

    La Timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe d'arbre. La Joie courut au milieu du jardin. La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit approprié pour se cacher. L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher.

    La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient. Le Désespoir étaient désespéré en voyant que la Folie était déjà à nonante-neuf.

    CENT ! cria la Folie. Je vais commencer à chercher...

    La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert. En regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus d'une clôture ne sachant pas de quel côté il serait mieux caché. Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité...

    Quand ils étaient tous réunis, la Curiosité demanda : Où est l'Amour ?
    Personne ne l'avait vu.

    La Folie commença à le chercher. Elle chercha au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais elle ne trouvait pas l'Amour.

    Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier, pris un bout de bois et commença à chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri.

    C'était l'Amour, qui criait parce qu'une épine lui avait crevé un oeil.
    La Folie ne savait pas quoi faire. Elle s'excusa, implora l'Amour pour avoir son pardon et alla jusqu'à lui promettre de le suivre pour toujours. L'Amour accepta les excuses.

    Aujourd'hui, l'Amour est aveugle et la Folie l'accompagne toujours.

    Auteur inconnu

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    Si la note disait : ce n'est pas une note qui fait une musique...
            il n'y aurait pas de symphonie.

    Si le mot disait : ce n'est pas un mot qui fait une page...
            il n'y aurait pas de livre.

    Si la pierre disait : ce n'est pas une pierre qui peut monter un mur...
            il n'y aurait ni maison, ni église ni cathédrale.

    Si la goutte disait : ce n'est pas une goutte d'eau qui peut faire une rivière...
            il n'y aurait pas d'océan.

    Si le grain de blé disait : ce n'est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ...
            il n'y aurait pas de moisson.

    Si l'homme disait : ce n'est pas un geste d'amour qui peut sauver l'humanité...
            il n'y aurait jamais de justice et de paix,
            de dignité et de bonheur sur la terre des hommes.

    Comme la symphonie a besoin de chaque note,
    Comme le livre a besoin de chaque mot,
    Comme la maison a besoin de chaque pierre,
    Comme l'océan a besoin de chaque goutte d'eau,
    Comme le moissoneur a besoin de chaque grain de blé,
            l'humanité tout entière a besoin de toi, là où tu es.

    Et on pourrait ajouter : là comme tu es,
    avec ta joie, ton espérance, ta souffrance, ta misère, ta vieillesse.
    L’humanité toute entière a besoin de toi, car tu es unique.
    Aimé de Dieu et donc irremplaçable.

    Michel Quoist



     

    Si...





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    j'ai toujours été fascinée par cette danse:

    le tango

     

     

     

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    "La jalousie

    est de toutes les maladies de l'esprit

    celle à qui le plus de choses

    servent d'aliment

    et le moins de choses de remède."


    Montaigne



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    trop envie de poster ce texte que j'ai écrit en juillet 2011

    un texte "en chemin"...pas fini...

     

     

    On parle de tout et de rien

    De la terre ronde et belle qu’il faut protéger

    Des oiseaux  qui annoncent le printemps…

    Ou s’en vont à l’automne

     

    On parle de l’eau

    L’eau pure et indispensable

    Sans laquelle l’homme n’est plus rien

     

    On parle de l’homme

    De l’homme et de la femme

    On a tout dit, tout écrit

    Sur les sentiments qui les lient

    …et les délient

     

    Tant de mots, de phrases, de citations

    Sur ce qu’ils sont, ou ne sont pas

     

    Qui suis-je, moi,

    Pour vouloir ajouter des mots sur tout ça ?

     

    Je suis toute petite dans l’Univers

    Et ne passe qu’un instant

    Dans l’immensité du temps

     

    Alors, mon passage ici-bas

    Qu’il soit court, et bien rempli !

    Qu’il soit riche d’amis d’horizons divers,

    Vous savez… ?

    D’amitiés qui grandissent,

    De celles qui vous ouvrent sur la Terre

    Et le monde, et…

    Qui vous font prendre conscience qu’on

    N’est pas le centre du Monde

     

    Oui,

    Que mon passage ici-bas

    Soit court

    Et bien rempli !

     

     

     

     

     Brigitte

     
    apu-3-y4quazkl5tiqrd3azp6loirk

     

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    "Entre amis,

    il est si beau que le silence soit d'or,

    mais le rire bon et frais l'est beaucoup plus encore"


    Friedrich Nietzsche



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    Rire, c'est risquer d'avoir l'air ridicule.

    Pleurer, c'est risquer de paraître sentimental.

    Vouloir rejoindre l'autre, c'est prendre le risque de s'impliquer.

    Exprimer ses sentiments, c'est risquer de révéler sa véritable façon d'être,
    d'affirmer à la face du monde ses idées et ses rêves, c'est risquer de perdre.

    Aimer, c'est prendre le risque de ne pas être aimé en retour.

    Vivre, c'est risquer de mourir.

    Espérer, c'est risquer le désespoir.

    Essayer, c'est risquer d'échouer.

    Mais on se doit de risquer
    parce que la plus sérieuse menace à la vie elle-même
    se trouve dans l'absence du risque...

    Anonyme


     

    Prendre le risque



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    J'étais allé, mendiant de porte en porte, sur le chemin du village lorsque ton chariot d'or apparut au loin pareil à un rêve splendide et j'admirais quel était ce Roi de tous les rois !

    Mais les espoirs s'exaltèrent et je pensais : c'en est fini des mauvais jours, et déjà je me tenais dans l'attente d'aumônes spontanées et de richesses éparpillées partout dans la poussière.

    Le chariot s'arrêta là où je me tenais. Ton regard tomba sur moi et tu descendis avec un sourire. Je sentis que la chance de ma vie était enfin venue.

    Soudain, alors, tu tendis ta main droite et dis : "Qu'as-tu à me donner ?"

    Ah ! quel jeu royal était-ce là de tendre la main au mendiant pour mendier ! J'étais confus et demeurai perplexe ; enfin, de ma besace, je tirai lentement un tout petit grain de blé et te le donnai.

    Mais combien fut grande ma surprise lorsqu'à la fin du jour, vidant à terre mon sac, je trouvai un tout petit grain d'or parmi le tas des pauvres grains. Je pleurai amèrement alors et pensai : "Que n'ai-je eu le coeur de te donner mon tout !".

    Rabindranath Tagore, L'offrande lyrique, Poème n°50,

    Ed. Gallimard


     

    Une rencontre


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