•  

    Je m’habitue au silence

    Je devrais dire qu’enfin, je le  supporte …

    Peut-être vais-je commencer à l’aimer.

    Pendant des années, il me fallait le bruit de fond et les images de la télévision

    pour me donner l’illusion que je n’étais pas seule.

    Le silence,

    Celui de l’absence

    A remplir coûte que coûte !

    Et je me surprends à écouter les sons du silence :

    le tic tac régulier de l’horloge au-dessus de la porte,

    le ronronnement léger de Bouli , l’ascenseur qui se met en route…

    Et pour la première fois depuis longtemps,

    je jouis de cette absence de bruits, la ville est endormie,

    plus aucune voiture ne circule, chacun est rentré…

    Je vais me coucher et je me sens sereine.

     

    Brigitte

    17 janvier 0h30


    Je suis...



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  • prise de becs !
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  • Tes mots prennent des chemins dans tous les sens
    des interdits, à contre-sens.
    Ils chantent la vie et pleurent la douleur.
    Tes mots t'emmènent vers un devenir meilleur.

    Choisis la route des mots doux
    celle des mots bijoux
    Oublie tes mots cailloux,
    ceux qui sont durs,
    connais les mots purs!

    Efface les mots peurs
    ceux qui provoquent les pleurs
    et engendrent la douleur...


    Tes mots prennent des chemins dans tous les sens
    Evite les interdits et les contre-sens,
    Chante la vie, calme la douleur
    Tes mots t'emmènent à être meilleur.

                                               Brigitte, le 30/10/01


    Je suis...



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  • Un texte que je retrouve ce soir
    A toi, mon ami qui m’écoute
    Ou, à toi qui passes ce soir par ici
    Peut-être te retrouveras-tu dans ce texte écrit à l’époque
    pour mon ami qui m’accompagnait en musiques et en chansons
    Il se peut que tu te retrouves dans cette personne "forte et solide" comme un arbre...
    Peut-être

    Je suis...

     

     

    Tu sais mon ’ami…

      

    Lorsque le mal t’atteint

    et te blesse à en mourir…

    Que tu cherches ta route dans le chagrin 

    et ne sait comment cela va finir…  

     

    Quand tu n’en peux plus de lutter 

    et perds toute raison d’espérer… 

    Lorsque tu penses en finir avec la vie, 

               Ne veux même plus te confier à ton ami… 

     

                                           

    Alors…

     

      Ecoute le chant de la pluie à ta fenêtre,


     

    Vois le sourire de ce vieux hêtre…


     

    Entends l’oiseau qui t’appelle dans la lumière

     

    Puise ta force dans la beauté de l’éclair…


     

    Respire la fleur qui s’ouvre à l’aurore


     

    Emplis-toi du calme de la clairière qui dort encore…


     

    Accueille {lessence} de la vie…

     

     

     Parce que tu sais… 

     



    Toi ! 




    Tu es l’arbre qui renaît à l’aube d’un nouveau jour 
    et laisse , en bourrasque, s’envoler les feuilles de son passé

     
    Tu es celui qui distille l’amour comme un troubadour 
    et traverse les saisons sur un pas cadencé
     
    Tu es ce grand chêne aussi fort qu’il pardonne 
           alors que par tant de cœurs ton corps est blessé,
     
     

     
    Tu es l’ami qui resplendit par tout ce qu’il donne 
    lorsque doucement tu viens nous bercer

     
    Du bout de tes branches tu illumines nos soirs de tristesse 
    quand avec le piano , simplement tu entonnes 
    ce chant si doux qui se termine avec allégresse 
    alors que chacun autour de toi s’abandonne        
     
     

     

    Brigitte Demets,  juillet 2004   

     


     

    l'arbre

    Je ne sais plus où j'ai trouvé le tableau que j'ai posté au-dessus du texte;

    j'espère que l'auteur me pardonnera, s'il passe par ici, et me donnera son adresse de site pour que je puisse mettre le lien

     

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  • pour le moment ...j'ai "RIEN" dans la tête

    un de mes profs m'a demandé si "RIEN" était beau

    ah! ah! ah!

    quand je dis que je n'ai RIEN en tête, c'est RIEN

    le vide absolu, le néant

    et pourtant

    des notes de musique, des partitions, des airs passent et puis s'envolent

    et je reviens au RIEN...malgré tout

    à ce RIEN que j'accepte mais que je vais tout doucement remplacer par plein de petits "QUELQUE CHOSE"

    ne vous méprenez pas

    ma vie est bien remplie: elle est plus que RIEN

    mais tout se fait ...au jour le jour, à petites doses avec ce RIEN qui prend chaque jour un peu plus de place

    et voilà que ma tête se met à fumer comme la cheminée de Drogenbos (quelqu'un se reconnaît là? Innocent)

    voyons voir:

    d'abord, s'enlever cette 'tite bête de la tête;

    ça laisse une grande place pour une macedoine originale et très colorée

    ça y est

    le moteur est en marche

    c'est reparti

    youpee!!!!!

     

    janvier 2008

    libre

     


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  • d'où il vient...

     

    ni où il va...

     

    Je ne sais pas où va ce train
    Qui t'emporte loin de moi.




    mais au fait,

    as-tu bien pris ce train-là?


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  •  

    J'aime cet instant,"entre chien et loup",où la terre s'élève vers le ciel

     

    j'aime ce moment

    où la nuit s'installe

    se blottit au creux des arbres

    les oiseaux se taisent

     

    instants charnières entre


     

    la vie diurne et


     

    celle...nocturne...


     

     

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  • j'ai aimé le coucher de soleil de ce soir

     



    Je suis...

     

     

     

     

    Je suis...

     

     

    Je suis...

     

     

     

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  • .....

    En quête d’eau , d'un lac virtuel où me baigner

    …et voilà :

    je m’arrête devant celui de Lamartine...

     

    .....................................................................................

    Mais je demande en vain quelques moments encore,
              Le temps m'échappe et fuit ;
    Je dis à cette nuit : sois plus lente et l'aurore
              Va dissiper la nuit

     

    " Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
       Hâtons-nous, jouissons !


    L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;
    Il coule, et nous passons ! "

     

    Temps jaloux, se peut- il que ces moments d'ivresse
    Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,
    S'envolent loin de nous de la même vitesse 

    Que les jours de malheur ?

           

    Alphonse Lamartine




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  •  ....

    Voir que l'on va vieillir
    Et vouloir commencer
    Voir un amour fleurir
    Et s'y vouloir brûler
    Voir la peur inutile
    La laisser aux crapauds
    Voir que l'on est fragile
    Et chanter à nouveau
    Voilà ce que je vois
    Voilà ce que je veux
    Depuis que je te vois
    Depuis que je te veux

    Jacques Brel

    pour dans cinq siècles

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