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j'aime cette photo prise cette semaine dans le cadre d'un atelier
quand la musique est là, tout va !
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J’ai le cœur maussade
Triste à grandes rasades
Et les idées que je sème aux quatre vents
Se perdent à jamais au soleil levant
J’ai le cœur en salade
Tendre, il bat la toquade
Et les mots que je plante dans mon jardin
Ne sont que vil baratin
Je dois avoir le cœur malade
Ayant mangé trop de salades
M’en vais lui faire suivre une cure
Avant qu’il ne tourne en confiture !
©Brigitte D.
mai 2011
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Quelque part au delà de l'arc-en-ciel
Tout là-haut
Les rêves que tu as faits
Une fois dans une berceuse
Quelque part au delà de l'arc-en-ciel
Des oiseaux bleus volent
Et les rêves que tu as faits
Ces rêves deviennent réalité
Un jour je ferai un vœu
Je me réveillerai là où les nuages sont loin derrière moi
Là où la tristesse fond comme neige au soleil
En haut, au dessus des cheminées, c'est là que vous me trouverez
Quelque part au delà de l'arc-en-ciel
Des oiseaux bleus volent
Et le rêve que tu oses faire, pourquoi, je n'y arrive pas ?
Un jour je ferai un vœu
Je me réveillerai là où les nuages sont loin derrière moi
Là où la tristesse fond comme neige au soleil
En haut, au dessus des cheminées, c'est là que vous me trouverez
Quelque part au delà de l'arc-en-ciel
Des oiseaux bleus volent
Et le rêve que tu oses faire,
pourquoi, pourquoi ne puis-je pas m'envoler ?
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C'est parce que mon oreille n'a pas été habituée
(j'ai envie de dire "éduquée")
que j'ai attendu longtemps avant de découvrir
la musique d'Olivier Messiaen
Je me rappelle avoir écouté des extraits
sur les oiseaux avec des enfants
des classes primaires;
ils étaient très réceptifs et aimaient bien.
Je repense à ce compositeur aujourd'hui
par ce que j'ai reçu une invitation
pour aller écouter
le "Quatuor pour la fin du Temps",
voici un extrait :
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Oran Etkin que j'ai eu le plaisir d'aller écouter à Bruxelles,
revient au festival de Jazz à Liège ce week-end
si vous en avez l'occasion,
allez l'écouter
Découvert lors d’un superbe concert au festival de Comblain-la-Tour en 2010, la musique d’Oran Etkin mêle habilement jazz moderne, musique klezmer et chants traditionnels maliens. L’osmose avec les musiciens maliens (Balla Kouyate au balafon et Makane Kouyate, calabash et voix) hypnotise littéralement l’auditeur. Le jeune clarinettiste américain d’origine juive revisite à travers ses compositions ou réinterprétations de standards les racines du jazz et la «world music» (au sens noble du terme) via les diverses rencontres qui le nourrissent. Initié au piano par son grand-père dès l’âge de cinq ans, Oran a pratiqué par la suite le violon, la guitare et le saxophone, qui est devenu son instrument phare avec la clarinette basse. Elève de Yusef Lateef et Dave liebman, Oran Etkin a été aussi fortement influencé par la musique malienne (pays où il a séjourné quelque temps), une musique qui ressemble au jazz par la grande place laissée à l’improvisation. A trente et un ans, Oran Etkin fait déjà preuve d’une belle renommée outre-atlantique, notamment depuis la sortie de son album « Kelenia » (début 2010) et un Independant Music Award en poche. Le style d’Oran Etkin est dû principalement à la sincérité de son approche de la musique, une musique non cérébrale, très intuitive et en même-temps qui honore pleinement la tradition et fait de lui un passeur et un maillon entre différentes cultures.
source: ICI
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