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quel beau week-end!
bon, Pascal vous a montré Simon et Sean occupés à déguster leur glace
mais...les voici eux....
il n'y a pas que les petits qui s'amusent
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Une dernière ,
des Ogres de Barback...
J'ai toujours su que j'allais te perdre
Moi qui ne supporte pas le bonheur
Moi qui ai toujours tout gâché
J'ai toujours su que tu partirais
Et si je suis insupportable, méchant, capricieux et médisant...
J'ai toujours su que j'allais te perdre
Moi qui ne supporte pas le bonheur
Moi qui ai toujours tout gâché
J'ai toujours su que tu partirais
Et si je suis insupportable,
méchant capricieux et médisant
C'est que depuis l'âge du cartable,
Je n'ai jamais pu supporter les gens.
Ceux qui emportent le sort
De cette maudite race humaine
En se disant que l'amour est fort
Et de surcroît il vaut mieux que la haine.
Moi qui ai toujours tout gâché
Moi qui ne supporte pas le bonheur
Toi qui voulus des enfants
Moi qui n'en aurai jamais
Moi qui n'ai jamais eu ton cran
Moi qui savais que tu partirais.
......
la suite ICI
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Enchanté petite fleur !
Que tu as de la chance d'être née dans le bonheur, dans l'insouciance.
Je t'aime, tes pétales en ballade ;
Je t'aime, cuisinée en salade.
Coucou petit oiseau, comme tu en as du bol.
Tu es libre comme l'eau, quand tu prends ton envol.
Je t'aime, tes ailes sont si douces ;
Je t'aime, à la sauce aigre douce.
Glouglou petit poisson, ho, dis-moi, quelle aubaine.
Tu n'as jamais de leçons, ton école c'est la Seine !
Je t'aime, tes nageoires glissantes ;
Je t'aime, à la sauce piquante.
Comment va monsieur le bœuf, que tu as de la veine.
Quand tu ne fais pas la teuf, c'est que tu te promènes.
Je t'aime, tes oreilles rigolotes ;
Je t'aime, à la sauce échalote.
Et croc, petite pomme, ho, quelle vie formidable.
Pour finir tu es comme mon dessert sur la table.
Je t'aime, en tarte ou en gâteau ;
Je t'aime, cuisinée au sirop.
Papa reste là
Les Ogres de Barback
Papa reste là, j'ai peur sans toi
Dis-moi si tu vas raconter une histoire ou pas
Je vais te raconter une histoire
Aventure extraordinaire
Mais elle s'écoute dans le noir
Alors j'éteins la lumière
Papa reste là, j'ai peur sans toi
Dis-moi si tu vas raconter une histoire ou pas
Je vais te raconter une histoire
Celle que tu as aimée hier soir
Je te raconterai la suite
Et tu t'endormiras très vite
Papa reste là, j'ai peur sans toi
Dis-moi si tu vas raconter une histoire ou pas
LES OGRES DE BARBACK - DINER NATUREL
(LA PITTORESQUE HISTOIRE DE PITTOCHA)
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Votre ami est votre besoin qui a trouvé une réponse.
Il est le champ que vous semez avec amour
et moissonnez avec reconnaissance.
Il est votre table et votre foyer.
Car vous venez à lui avec votre faim,
et vous cherchez en lui la paix.
Lorsque votre ami parle de ses pensées
vous ne craignez pas le "non" de votre esprit,
ni ne refusez le "oui".
Et quand il est silencieux votre cœur
ne cesse d'écouter son cœur ;
Car en amitié, toutes les pensées,
tous les désirs, toutes les attentes naissent
et sont partagés sans mots, dans une joie muette.
Quand vous vous séparez de votre ami,
ne vous désolez pas ;
Car ce que vous aimez en lui
peut être plus clair en son absence,
comme la montagne pour le randonneur
est plus visible vue de la plaine.
Et qu'il n'y ait d'autre intention dans l'amitié
que l'approfondissement de l'esprit.
Car l'amour qui cherche autre chose
que la révélation de son propre mystère n'est pas l'amour,
mais un filet jeté au loin :
et ce que vous prenez est vain.
Et donnez à votre ami le meilleur de vous-même.
Et s'il doit connaître le reflux de votre marée,
laissez le connaître aussi son flux.
Car qu'est-ce que votre ami si vous venez le voir
avec pour tout présent des heures à tuer ?
Venez toujours le voir avec des heures à faire vivre.
Car il est là pour remplir vos besoins, et non votre néant.
Et dans la tendresse de l'amitié qu'il y ait le rire
et le partage des plaisirs.
Car dans la rosée de menues choses
le cœur trouve son matin et sa fraîcheur.
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je viens de voir le reportage sur la fête nationale française
et je pense à la nouvelle marseillaise de Graeme Alwright
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"Une route qui paraît longue, si longue
Une ville qui nous semble grande , tellement grande
Un bâtiment qu’on ne connaît pas, non,
Des gens et encore des gens qui passent
Une nouvelle chambre , des visages à apprivoiser
Et moi,
Moi , là
Tout seul
Je suis grand,
Je suis fort
Papa m’aime
Maman m’aime
Sean m’aime
Leur amour me nourrit
De nouveaux enfants à découvrir
Trois semaines à grandir
Loin de papa
Mais,
Je lui montrerai, moi
Comme je suis fort
Plus fort qu’un lion
Plus fort que le soleil
Et je les aime grand comme la planète Mars
Et je les aime grand comme un arc-en-ciel
Trois semaines…et puis…revenir"
©B. Demets
En pensant très fort à Simon...
Pour mes meilleurs amis
et à leurs enfants nourris d'amour
Brigitte
http://instantsdevie.eklablog.com/
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