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Par macedoine le 12 Décembre 2010 à 22:37
.....
Pour accoucher sans la souffrance
Pour le contrôle des naissances
Il a fallu des millénaires
Si nous sortons du moyen âge
Vos siècles d'infini servage
Pèsent encore lourd sur la terre
Refrain
Le poète a toujours raison
Qui annonce la floraison
D'autres amours en son royaume
Remet à l'endroit la chanson
Et déclare avec Aragon
La femme est l'avenir de l'homme
Il faudra réapprendre à vivre
Ensemble écrire un nouveau livre
Redécouvrir tous les possibles
Chaque chose enfin partagée
Tout dans le couple va changer
D'une manière irréversible
votre commentaire -
Par macedoine le 30 Novembre 2010 à 20:07
...un texte super
une belle musique,
c'est magnifique...
il a trouvé les mots pour le dire,
en douceur!
mais c'est tellement fort!
3 commentaires -
Par macedoine le 28 Novembre 2010 à 22:35
j'aime beaucoup les textes et les chansons de Frédéric Mey....
1 commentaire -
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Par macedoine le 11 Novembre 2010 à 08:59
A tous les enfants qui sont partis le sac à dos
Par un brumeux matin d'avril
Je voudrais faire un monument
A tous les enfants
Qui ont pleuré le sac au dos
Les yeux baissés sur leurs chagrins
Je voudrais faire un monument
Pas de pierre, pas de béton
Ni de bronze qui devient vert
Sous la morsure aiguë du temps
Un monument de leur souffrance
Un monument de leur terreur
Aussi de leur étonnement
Voilà le monde parfumé,
Plein de rires, plein d'oiseaux bleus
Soudain griffé d'un coup de feu
Un monde neuf où sur un corps
qui va tomber
Grandit une tache de sang
Mais à tous ceux qui sont restés
Les pieds au chaud, sous leur bureau
En calculant le rendement
De la guerre qu'ils ont voulue
A tous les gras tous les cocus
Qui ventripotent dans la vie
Et comptent et comptent leurs écus
A tous ceux-là je dresserai
Le monument qui leur convient
Avec la schlague, avec le fouet
Avec mes pieds avec mes poings
Avec des mots qui colleront
Sur leurs faux-plis sur leurs bajoues
Des larmes de honte et de boue.Boris Vian
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Par macedoine le 30 Septembre 2010 à 21:50
Tous les rêves, tous les rêves que l'on a partagés
Tous les rêves, tous ces rêves faut pas les oublier
Tout ce qui nous apporte un peu de redoux
Tout ce qui nous importe s'éloigne de nous
Tous les rêves, tous ces rêves, tous ces baisers volés
Tous ces rêves envolés qu'on a abandonné
Et qui nous donnaient l'envie d'aller jusqu'au bout
A présent nous supplient de rester debout
Mais les rêves, tous ces rêves que l'on ne faisait plus
Mais les rêves, tous ces rêves que l'on croyait perdus
Il suffit d'une étincelle pour que tout à coup
Ils reviennent de plus belle, au plus profond de nous...
Aimons les étoiles
Laissons-les filer
Aimons les étoiles....
suite ICI
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Par macedoine le 20 Septembre 2010 à 13:25
chanson qui s'impose à moi,
aujourd'hui,
plus particulièrement...
je vous la propose dans cette version -ci
que j'aime beaucoup aussi
On peut vivre sans richesse,
Presque sans le sou.
Des seigneurs et des princesses,
Y-en-a plus beaucoup.
Mais vivre sans tendresse, on ne le pourrait pas.
Non, non, non, non : on ne le pourrait pas.
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien.
Etre inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien.
Mais vivre sans tendresse, il n'en est pas question.
Non, non, non, non : il n'en est pas question.
Quelle douce faiblesse,
Quel joli sentiment,
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant.
Vraiment, vraiment, vraiment.
Le travail est nécessaire,
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire,
Eh bien... on s'y fait.
Mais vivre sans tendresse, le temps vous paraît long,
Long, long, long, long : le temps vous parait long.
Dans le feu de la jeunesse,
Naissent les plaisirs,
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir.
Oui mais sans la tendresse, l'amour ne serait rien.
Non, non, non, non : l'amour ne serait rien.
Quand la vie impitoyable,
Vous tombe dessus.
On est plus qu'un pauvre diable,
Broyé et déçu.
Alors sans la tendresse, d'un coeur qui nous soutient,
Non, non, non, non : on n'irait pas plus loin.
Un enfant vous embrasse,
Parce qu'on le rend heureux.
Tous nos chagrins s'effacent,
On a les larmes aux yeux.
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse,
Immense ferveur,
Faites donc pleuvoir sans cesse,
Au fond de nos coeurs,
Des torrents de tendresse pour que règne l'amour...
Règne l'amour... jusqu'à la fin des jours.
j'ai trouvé les paroles ICI
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