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    je découvre

     et j'adore!

     

     

     

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    Pour accoucher sans la souffrance
    Pour le contrôle des naissances
    Il a fallu des millénaires
    Si nous sortons du moyen âge
    Vos siècles d'infini servage
    Pèsent encore lourd sur la terre


    Refrain
    Le poète a toujours raison
    Qui annonce la floraison
    D'autres amours en son royaume
    Remet à l'endroit la chanson
    Et déclare avec Aragon
    La femme est l'avenir de l'homme


    Il faudra réapprendre à vivre
    Ensemble écrire un nouveau livre
    Redécouvrir tous les possibles
    Chaque chose enfin partagée
    Tout dans le couple va changer
    D'une manière irréversible

    .....


     

     

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    ...un texte super

    une belle musique,

    c'est magnifique...

    il a trouvé les mots pour le dire,

    en douceur!

    mais c'est tellement fort!

     

     

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    j'aime beaucoup les textes et les chansons de Frédéric Mey....

     

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    SYRANO

     

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    A tous les enfants qui sont partis le sac à dos
    Par un brumeux matin d'avril
    Je voudrais faire un monument
    A tous les enfants
    Qui ont pleuré le sac au dos
    Les yeux baissés sur leurs chagrins
    Je voudrais faire un monument
    Pas de pierre, pas de béton

    Ni de bronze qui devient vert
    Sous la morsure aiguë du temps
    Un monument de leur souffrance
    Un monument de leur terreur
    Aussi de leur étonnement
    Voilà le monde parfumé,
    Plein de rires, plein d'oiseaux bleus
    Soudain griffé d'un coup de feu
    Un monde neuf où sur un corps
    qui va tomber

    Grandit une tache de sang
    Mais à tous ceux qui sont restés
    Les pieds au chaud, sous leur bureau
    En calculant le rendement
    De la guerre qu'ils ont voulue
    A tous les gras tous les cocus
    Qui ventripotent dans la vie
    Et comptent et comptent leurs écus
    A tous ceux-là je dresserai
    Le monument qui leur convient
    Avec la schlague, avec le fouet
    Avec mes pieds avec mes poings
    Avec des mots qui colleront
    Sur leurs faux-plis sur leurs bajoues
    Des larmes de honte et de boue.

    Boris Vian

     

     

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    ...alors....

     

     

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    Tous les rêves, tous les rêves que l'on a partagés
    Tous les rêves, tous ces rêves faut pas les oublier
    Tout ce qui nous apporte un peu de redoux
    Tout ce qui nous importe s'éloigne de nous

    Tous les rêves, tous ces rêves, tous ces baisers volés
    Tous ces rêves envolés qu'on a abandonné
    Et qui nous donnaient l'envie d'aller jusqu'au bout
    A présent nous supplient de rester debout

    Mais les rêves, tous ces rêves que l'on ne faisait plus
    Mais les rêves, tous ces rêves que l'on croyait perdus
    Il suffit d'une étincelle pour que tout à coup
    Ils reviennent de plus belle, au plus profond de nous...

    Aimons les étoiles
    Laissons-les filer
    Aimons les étoiles

    ....

    suite ICI

     

     

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    chanson qui s'impose à moi,

    aujourd'hui,

    plus particulièrement...

    je vous la propose dans cette version -ci

    que j'aime beaucoup aussi

     

     

     

    On peut vivre sans richesse,
    Presque sans le sou.
    Des seigneurs et des princesses,
    Y-en-a plus beaucoup.
    Mais vivre sans tendresse, on ne le pourrait pas.
    Non, non, non, non : on ne le pourrait pas.
     
    On peut vivre sans la gloire
    Qui ne prouve rien.
    Etre inconnu dans l'histoire
    Et s'en trouver bien.
    Mais vivre sans tendresse, il n'en est pas question.
    Non, non, non, non : il n'en est pas question.
     
    Quelle douce faiblesse,
    Quel joli sentiment,
    Ce besoin de tendresse
    Qui nous vient en naissant.
    Vraiment, vraiment, vraiment.
     
    Le travail est nécessaire,
    Mais s'il faut rester
    Des semaines sans rien faire,
    Eh bien... on s'y fait.
    Mais vivre sans tendresse, le temps vous paraît long,
    Long, long, long, long : le temps vous parait long.
     
    Dans le feu de la jeunesse,
    Naissent les plaisirs,
    Et l'amour fait des prouesses
    Pour nous éblouir.
    Oui mais sans la tendresse, l'amour ne serait rien.
    Non, non, non, non : l'amour ne serait rien.
     
    Quand la vie impitoyable,
    Vous tombe dessus.
    On est plus qu'un pauvre diable,
    Broyé et déçu.
    Alors sans la tendresse, d'un coeur qui nous soutient,
    Non, non, non, non : on n'irait pas plus loin.
     
    Un enfant vous embrasse,
    Parce qu'on le rend heureux.
    Tous nos chagrins s'effacent,
    On a les larmes aux yeux.
    Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
     
    Dans votre immense sagesse,
    Immense ferveur,
    Faites donc pleuvoir sans cesse,
    Au fond de nos coeurs,
    Des torrents de tendresse pour que règne l'amour...
    Règne l'amour... jusqu'à la fin des jours.

     
    j'ai trouvé les paroles ICI

     

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