-
Par macedoine le 1 Juillet 2010 à 20:20
fin d'année scolaire,
finis les jeux de récrés
en cherchant
"le jeu de la marelle"
de Nazaré Pereira
j'ai retrouvé
cette chanson -ci:
"J'ai vu des enfants qui jouaient à la marelle
Il poussaient d'un pied un morceau de bois
Ils quittaient l'enfer pour gagner le ciel
Et beaucoup n'y arrivaient pas
J'ai vu dans ce jeu toute l'histoire de ma vie
Le bien ou le mal qu'il me faut choisir
Et lorsque parfois, je suis indécis
J'entends tous ces enfants me dire
Saute sur un pied, va vers le ciel
C'est tout droit la vie éternelle
Saute sur un pied, va vers le ciel
Si tu vas de travers, tu retombes en enfer"
2 commentaires -
Par macedoine le 30 Juin 2010 à 17:00
.....
J'étais fragile comme le cristal
Des jours très bien des jours très mal
A la merci de l'air du temps
Un mot me griffait jusqu'au sang
J'étais l'argile du potier
Je me laissais toujours modeler
Un jour j'ai voulu être moi
Plutôt qu'une autre sous tes doigts
J'ai voulu savoir qui j'étais
Etais-je l'arbre ou la forêt
Etais-je la soie ou la laine
Le granit ou la porcelaine
Aujourd'hui je vais vers moi-même
Même s'il en coûte à ceux qui m'aiment
Trop habitués à me voir
Docilement suivre leurs couloirs....
Je suis légère comme une plume
je sors enfin de la brume
Je suis bien dans ma propre peau
Je navigue au fil de mon eauJulos Beaucarne
2 commentaires -
Par macedoine le 29 Juin 2010 à 21:54
"On ne m'a souvent nourrie que du langage des fleurs
Et des sentiments jaunis au petit courrier du coeur
On ne m'a donné aussi,
Pour me battre dans la vie,
Qu'une idée, qu'un passe-temps, me trouver un bon mari
Et lui faire des enfants.
Mais un matin de grand soleil
J'ai pris la route des torrents
J'ai bu l'eau forte du réveil
Loin des prisons de trop longtemps.
Car j'ai la chance d'être femme
Et je sais le chemin de l'amour
Car j'ai la chance d'être femme
Et je veux le crier au grand jour.
On m'a défendu longtemps les fontaines du plaisir
On m'a priée trop souvent de me taire et d'obéir
Et j'ai dormi deux mille ans,
Sous les feuilles, au bois dormant,
Où l'on garde, sans rougir, l'habitude et le talent
Île ne pas trop réfléchir.
Car j'ai la chance d'être femme..."Mannick
2 commentaires -
Par macedoine le 20 Juin 2010 à 00:38
J'ai toujours beaucoup aimé les chansons de Guy Béart.
Je retrouve celle-ci ce soir...
Envie de la partager avec vous
C'est l'espérance folle
Qui nous console
De tomber du nid
Et qui demain prépare
Pour nos guitares
D'autres harmonies
S'élève l'espérance
Dans le silence
Soudain de la nuit
Et les matins qui chantent
Déjà enchantent
Nos soirs d'aujourd'hui
Viens
C'est la fête en semaine viens
Je t'attends, tu ne sais plus rien
Plus rien ne nous sépare viens
Viens
Si les larmes t'ont fait du bien
Ce sourire est déjà le lien
Avec les beaux jours qui viennent
Reviennent
C'est l'espérance folle
Qui carambole
Et tombe du temps
Je vois dans chaque pierre
Cette lumière
De nos cœurs battants
La mort c'est une blague
La même vague
Nous baigne toujours
Et cet oiseau qui passe
Porte la trace
D'étranges amours
Viens
C'est la fête en semaine viens
Je t'attends tu le sais plus rien
Plus rien ne nous sépare viens
Viens
Si les larmes t'ont fait du bien
Ce sourire est déjà le lien
Avec les beaux jours qui viennent
Reviennent
C'est l'espérance folle
Qui danse et vole
Au dessus des toits
Des maisons et des places
La terre est basse
Je vole avec toi
Tout est gagné d'avance
Je recommence
Je grimpe pieds nus
Au sommet des montagnes
Mâts de cocagne
Des cieux inconnus
2 commentaires -
Par macedoine le 18 Juin 2010 à 23:47Découvrez la playlist vieilles chansons françaises avec Berthe Sylva
Riches ou pauvres quoi qu'on fasse sur la terre
Notre existence est une chose éphémère
Et des pendules le tic tac incessant
Semble nous dire "tout passe avec le temps"
Voici l'enfant qui vient de venir au monde
Sa mère penchée vers sa petite tête blonde
Vers la pendule placée près de son lit
Jette un regard et soucieuse se dit:
Si l'on pouvait arrêter les aiguilles
Au cadran qui marque les heures de la vie
Nos petits enfants si mignons, si gentils
Ne grandiraient pas pour déserter leur nid
Lorsqu'à vingt ans un jour ils se marient
Sans un regret, ils partent, et vous oublient
Et les mamans dont ils brisent l'espoir
Pensent: on voudrait près de soi toujours les avoir
Restez petits garçons ou petites filles
Si l'on pouvait arrêter les aiguilles
Un malfaiteur, pour expier son crime
Est condamné au châtiment ultime
Dans sa cellule, il entend ses gardiens
Dire tout bas, "Ce sera pour demain"
Le lendemain il voit que l'aube se lève
Et ses idées se brouillent comme dans un rêve
Il est secoué de terreur et de remords
Et dit tremblant sentant venir la mort
Si l'on pouvait arrêter les aiguilles
Au cadran qui marque les heures de la vie
Je n'aurais peut-être pas lorsque sonnait minuit
Commis le crime dont je vais être puni
Il a suffit d'une fatale minute
Pour que d'un homme je devienne une brute
Mais quoi voici l'horloge de la prison
Qui sonne le glas de la séparation
Plus qu'un espoir, mon Dieu pour ma famille
Si l'on pouvait arrêter les aiguilles
Dans les campagnes ainsi que dans les villes
Règne le calme, et chacun vit tranquille
Sans se douter qu'un orage gronde au loin
Pour bouleverser la paix du genre humain
Un peu partout, en Europe, en Afrique
Les noirs dessous de l'infâme politique
Sèment la guerre, horreur de tous les temps
Que nul ne peut arrêter et pourtant
Si l'on pouvait arrêter les aiguilles
Au cadran qui marque les heures de la vie
On entendrait plus le tocsin sonner
Pour enlever nos fils à leurs foyers
Quand à l'instant ou tous les bras travaillent
Quoi de plus triste que l'heure des batailles
Peut-être qu'un jour retrouvant sa raison
L'homme maudira la guerre et ses passions
Plus de tueries, ni d'hommes qui fusillent
Si l'on pouvait arrêter les aiguilles
Tous emportés par l'effroyable ronde
Les années passent si vite pour tout le monde
Que l'on se dit: Pourquoi se jalouser
Se faire tant de mal au lieu de s'entraider
Deux pauvres vieux, usés, cassés par l'âge
Sentant venir l'heure de grand voyage
Encore unis, comme dans leur jeune temps
Dans un baiser, disent en s'enlaçant:
Si l'on pouvait arrêter les aiguilles
Au cadran qui marque les heures de la vie
Nous n'aurions pas la triste appréhension
D'entendre l'heure de la séparation
Après avoir passé toute une vie
A nous chérir sans aucune jalousie
Le coeur bien gros on ne devrait pas penser
Qu'un jour hélas, il faudra nous quitter
Vivons d'espoir, à quoi bon se faire tant de bile
Puisqu'on ne peut pas arrêter les aiguilles.Berthe Sylva
1937
4 commentaires -
Par macedoine le 13 Juin 2010 à 11:15
1 - Tu t'invites chez moi
Sans en être prié
Mais tout au fond de moi
C'est toi que j'attendais
On se serre un peu plus
Tu tiens tellement de place
Et depuis ta venue
Je me regarde en face
Faire mon premier pas
Faire mon premier geste
Et l'enfant que je vois
M'a pris tout l'amour
Qui me reste.
{ Refrain:}
Papa chanteur
Maman douceur
Pleure pas, pleure pas
Baby bonheur
La vie vient de faire une fleur
A papa chanteur.
2 - C'est par toi que j'aurais mes plus beaux souvenirs
Je n'ai pas de passé, tu es mon avenir
J'ai grandi sans savoir
Ce qu'était la tendresse
La douceur d'un regard
Et la main qui caresse
Toi, tu es de ma chair
De mon sang, de mes larmes
Et de toutes mes guerres
Que j'ai gagnées pour toi sans armes.
{Refrain 2:}
Papa chanteur
Papa chanteur
Maman douceur
Pleure pas
Pleure pas baby bonheur
Ils sont venus les jours meilleurs
A papa chanteur
Maman douceur
3- Plus tard je te dirais
Quand tu auras grandi
Mes espoirs, mes regrets
D'où je viens, qui je suis
Pour toi j'inventerai un monde imaginaire
Celui qui m'a manqué
Moi j'n'avais pas de père
Je n'avais qu'un prénom
C'est trop peu pour un homme
Je me suis fait un nom
Et ce nom là je te le donne.
Jean Luc Lahaye
1 commentaire -
-
-
-
Par macedoine le 24 Avril 2010 à 12:00
1 commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique