• fin d'année scolaire,
    finis les jeux de récrés

    en cherchant
    "le jeu de la marelle"
    de Nazaré Pereira

    MUSIQUE TRAD
    j'ai retrouvé
    cette chanson -ci:

    "J'ai vu des enfants qui jouaient à la marelle
    Il poussaient d'un pied un morceau de bois
    Ils quittaient l'enfer pour gagner le ciel
    Et beaucoup n'y arrivaient pas
    J'ai vu dans ce jeu toute l'histoire de ma vie
    Le bien ou le mal qu'il me faut choisir
    Et lorsque parfois, je suis indécis
    J'entends tous ces enfants me dire

    Saute sur un pied, va vers le ciel
    C'est tout droit la vie éternelle
    Saute sur un pied, va vers le ciel
    Si tu vas de travers, tu retombes en enfer
    "


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  • ..... 

    J'étais fragile comme le cristal
    Des jours très bien des jours très mal
    A la merci de l'air du temps
    Un mot me griffait jusqu'au sang

    J'étais l'argile du potier
    Je me laissais toujours modeler
    Un jour j'ai voulu être moi
    Plutôt qu'une autre sous tes doigts

    J'ai voulu savoir qui j'étais
    Etais-je l'arbre ou la forêt
    Etais-je la soie ou la laine
    Le granit ou la porcelaine

    Aujourd'hui je vais vers moi-même
    Même s'il en coûte à ceux qui m'aiment
    Trop habitués à me voir
    Docilement suivre leurs couloirs

    ....

    Je suis légère comme une plume
    je sors enfin de la brume
    Je suis bien dans ma propre peau
    Je navigue au fil de mon eau

    Julos Beaucarne

    MUSIQUE TRAD


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  • "On ne m'a souvent nourrie que du langage des fleurs
    Et des sentiments jaunis au petit courrier du coeur
    On ne m'a donné aussi,
    Pour me battre dans la vie,
    Qu'une idée, qu'un passe-temps, me trouver un bon mari
    Et lui faire des enfants.
    Mais un matin de grand soleil
    J'ai pris la route des torrents
    J'ai bu l'eau forte du réveil
    Loin des prisons de trop longtemps.
    Car j'ai la chance d'être femme
    Et je sais le chemin de l'amour
    Car j'ai la chance d'être femme
    Et je veux le crier au grand jour.
    On m'a défendu longtemps les fontaines du plaisir
    On m'a priée trop souvent de me taire et d'obéir
    Et j'ai dormi deux mille ans,
    Sous les feuilles, au bois dormant,
    Où l'on garde, sans rougir, l'habitude et le talent
    Île ne pas trop réfléchir.
    Car j'ai la chance d'être femme..."

    Mannick

    MUSIQUE TRAD



    MUSIQUE TRAD

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  • J'ai toujours beaucoup aimé les chansons de Guy Béart.

    Je retrouve celle-ci ce soir...
    Envie de la partager avec vous



    C'est l'espérance folle
    Qui nous console
    De tomber du nid
    Et qui demain prépare
    Pour nos guitares
    D'autres harmonies

    S'élève l'espérance

    Dans le silence
    Soudain de la nuit
    Et les matins qui chantent
    Déjà enchantent
    Nos soirs d'aujourd'hui

    Viens

    C'est la fête en semaine viens
    Je t'attends, tu ne sais plus rien
    Plus rien ne nous sépare viens
    Viens
    Si les larmes t'ont fait du bien
    Ce sourire est déjà le lien
    Avec les beaux jours qui viennent
    Reviennent

    C'est l'espérance folle

    Qui carambole
    Et tombe du temps
    Je vois dans chaque pierre
    Cette lumière
    De nos cœurs battants

    La mort c'est une blague

    La même vague
    Nous baigne toujours
    Et cet oiseau qui passe
    Porte la trace
    D'étranges amours

    Viens

    C'est la fête en semaine viens
    Je t'attends tu le sais plus rien
    Plus rien ne nous sépare viens
    Viens
    Si les larmes t'ont fait du bien
    Ce sourire est déjà le lien
    Avec les beaux jours qui viennent
    Reviennent

    C'est l'espérance folle

    Qui danse et vole
    Au dessus des toits
    Des maisons et des places
    La terre est basse
    Je vole avec toi

    Tout est gagné d'avance

    Je recommence
    Je grimpe pieds nus
    Au sommet des montagnes
    Mâts de cocagne
    Des cieux inconnus

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  •  

     

    Découvrez la playlist vieilles chansons françaises avec Berthe Sylva

     

    Riches ou pauvres quoi qu'on fasse sur la terre
    Notre existence est une chose éphémère
    Et des pendules le tic tac incessant
    Semble nous dire "tout passe avec le temps"
    Voici l'enfant qui vient de venir au monde
    Sa mère penchée vers sa petite tête blonde
    Vers la pendule placée près de son lit
    Jette un regard et soucieuse se dit:

    Si l'on pouvait arrêter les aiguilles

    Au cadran qui marque les heures de la vie
    Nos petits enfants si mignons, si gentils
    Ne grandiraient pas pour déserter leur nid
    Lorsqu'à vingt ans un jour ils se marient
    Sans un regret, ils partent, et vous oublient
    Et les mamans dont ils brisent l'espoir
    Pensent: on voudrait près de soi toujours les avoir
    Restez petits garçons ou petites filles
    Si l'on pouvait arrêter les aiguilles

    Un malfaiteur, pour expier son crime

    Est condamné au châtiment ultime
    Dans sa cellule, il entend ses gardiens
    Dire tout bas, "Ce sera pour demain"
    Le lendemain il voit que l'aube se lève
    Et ses idées se brouillent comme dans un rêve
    Il est secoué de terreur et de remords
    Et dit tremblant sentant venir la mort

    Si l'on pouvait arrêter les aiguilles

    Au cadran qui marque les heures de la vie
    Je n'aurais peut-être pas lorsque sonnait minuit
    Commis le crime dont je vais être puni
    Il a suffit d'une fatale minute
    Pour que d'un homme je devienne une brute
    Mais quoi voici l'horloge de la prison
    Qui sonne le glas de la séparation
    Plus qu'un espoir, mon Dieu pour ma famille
    Si l'on pouvait arrêter les aiguilles

    Dans les campagnes ainsi que dans les villes

    Règne le calme, et chacun vit tranquille
    Sans se douter qu'un orage gronde au loin
    Pour bouleverser la paix du genre humain
    Un peu partout, en Europe, en Afrique
    Les noirs dessous de l'infâme politique
    Sèment la guerre, horreur de tous les temps
    Que nul ne peut arrêter et pourtant

    Si l'on pouvait arrêter les aiguilles

    Au cadran qui marque les heures de la vie
    On entendrait plus le tocsin sonner
    Pour enlever nos fils à leurs foyers
    Quand à l'instant ou tous les bras travaillent
    Quoi de plus triste que l'heure des batailles
    Peut-être qu'un jour retrouvant sa raison
    L'homme maudira la guerre et ses passions
    Plus de tueries, ni d'hommes qui fusillent
    Si l'on pouvait arrêter les aiguilles

    Tous emportés par l'effroyable ronde

    Les années passent si vite pour tout le monde
    Que l'on se dit: Pourquoi se jalouser
    Se faire tant de mal au lieu de s'entraider
    Deux pauvres vieux, usés, cassés par l'âge
    Sentant venir l'heure de grand voyage
    Encore unis, comme dans leur jeune temps
    Dans un baiser, disent en s'enlaçant:

    Si l'on pouvait arrêter les aiguilles

    Au cadran qui marque les heures de la vie
    Nous n'aurions pas la triste appréhension
    D'entendre l'heure de la séparation
    Après avoir passé toute une vie
    A nous chérir sans aucune jalousie
    Le coeur bien gros on ne devrait pas penser
    Qu'un jour hélas, il faudra nous quitter
    Vivons d'espoir, à quoi bon se faire tant de bile
    Puisqu'on ne peut pas arrêter les aiguilles.

    Berthe Sylva

    1937

    MUSIQUE TRAD


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  • Sur quelques notes...


    1 - Tu t'invites chez moi
    Sans en être prié
    Mais tout au fond de moi
    C'est toi que j'attendais
    On se serre un peu plus
    Tu tiens tellement de place
    Et depuis ta venue
    Je me regarde en face
    Faire mon premier pas
    Faire mon premier geste
    Et l'enfant que je vois
    M'a pris tout l'amour
    Qui me reste.

    {
    Refrain:}
    Papa chanteur
    Maman douceur
    Pleure pas, pleure pas
    Baby bonheur
    La vie vient de faire une fleur
    A papa chanteur.

    2 - C'est par toi que j'aurais mes plus beaux souvenirs

    Je n'ai pas de passé, tu es mon avenir
    J'ai grandi sans savoir
    Ce qu'était la tendresse
    La douceur d'un regard
    Et la main qui caresse
    Toi, tu es de ma chair
    De mon sang, de mes larmes
    Et de toutes mes guerres
    Que j'ai gagnées pour toi sans armes.

    {Refrain 2:}

    Papa chanteur
    Papa chanteur
    Maman douceur
    Pleure pas
    Pleure pas baby bonheur
    Ils sont venus les jours meilleurs
    A papa chanteur
    Maman douceur

    3- Plus tard je te dirais

    Quand tu auras grandi
    Mes espoirs, mes regrets
    D'où je viens, qui je suis
    Pour toi j'inventerai un monde imaginaire
    Celui qui m'a manqué
    Moi j'n'avais pas de père
    Je n'avais qu'un prénom
    C'est trop peu pour un homme
    Je me suis fait un nom
    Et ce nom là je te le donne.


    Jean Luc Lahaye



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  • source: ICI

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